POINT D'INTERET

SITUATION

CARTOGRAPHIE

TEXTE DE LA SORTIE

Depuis Ossese, suivre le balisage GR puis jaune, indiquant tout d’abord en 4 h 30 la Cabane de Marterat (et le port de Marterat) qui sera atteinte en environ 2 h 30 / 3 h maxi (pour bons marcheurs). Le d »épart se fait avec des passages boueux (et au retour de nombreux taons).Un peu plus loin, une bifurcation permet d’admirer en 20 mn la cascade de Lizien (très grande que l’on verra pour notre part à  la montée). On traverse forêt, nombreux virages serrés et cascades jusqu’a l’arrivée à  un faux col.De la (environ 1470 m) on perd quelques mètres pour retrouver le cours du ruisseau que l’on traverse par un pont en bois dégradé pour continuer à  monter rive gauche.On suit toujours le balisage Rouge et Blanc qui passe à  présent un nouveau col, bien repérable par la présence d’un gros cairn et d’une croix en fer. L’endroit idéal pour une pause si cela n’est pas encore fait …On poursuit l’ascension le chemin toujours balisé GR avec face à  nous le Pic Lasaugede. On arrive à  une bifurcation (environ 1800 m) avec de nouvelles marques de balisage jaune et GR que l’on poursuit et qui menent a la cabane de Marterat, joliment refaite et composée de 9 couchages.- A noter l’eau en source présente 10 mn avant le refuge (ou de l’autre coté du col).- A noter également le vent régulièrement présent à  la cabane, comme au dessus par ailleurs ….La montée au col est à  présent très rapide. Du port , on reste à  l’horizontale en suivant de vagues sentes (et des jasses) jusqu’a rejoindre une rampe d’accès au sommet dont les cairns sont plutot visibles … à  la descente, atteint en environ 1 h 15 depuis la cabanne.Arrivant près de l’arete sommitale, on peut noter qques pas (sans etre de l’escalade, rester tout de meme prudent, car l’arete n’est pas très large). On finit la denriere pente herbeuse jusqu’au sommet ou un gros cairn y est présent. De la , la vue est magnifique depuis le Valier, Le Mont Rouch , et aussi le Certascan juste au bout de bras …

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Pour survivre à l’hiver, certains animaux quittent la montagne pour des cieux plus cléments (migration), d’autres s’endorment bien à l’abri (hibernation), mais un bon nombre d’espèces reste présente et doit s’adapter pour faire face au froid. Les animaux continuent donc de se déplacer pour se nourrir et s’abriter. Pour la plupart, ils se cantonnent à un petit territoire qu’ils arpentent discrètement, attentifs aux risques d’une mauvaise rencontre. Dans la neige fraîche, leurs traces de pas sont facilement visibles. On peut voir quelques empreintes qu’il est difficile de suivre mais parfois de véritables pistes laissent deviner par où l’animal s’en est allé. Cette écriture est plus ou moins facile à déchiffrer. Selon la densité et la température de la neige, l’empreinte sera plus ou moins nette.

La vallée (moins de 1.000 m)
La vie y est facile, la température moyenne est de 15°. La période de végétation est
de 8 à 9 mois. C’est l’étage des CULTURES, des CHAMPS DE FLEURS, des FEUILLUS
comme le chêne, le châtaigner etc.
La forêt (de 1.000 à 2.000 m)
La température moyenne est plus basse : de 5 à 15°. La période de végétation dure
de 6 à 7 mois. C’est l’étage de la forêt où poussent des FORETS DE HETRES et en
montant en altitude, beaucoup de RESINEUX (sapins, pins).
Les alpages (de 2.000 à 3.000 m)
La température moyenne varie de 2 à 5°. Il n’y a pas beaucoup d’arbres car il fait
trop froid, il y a DES GRANDES ETENDUES D’HERBE (les alpages) et la végétation est rare.
La haute montagne (au-delà de 3.000 m)
La température moyenne se situe autour de 0°. Il y a des ROCHES, des NEIGES
ETERNELLES, des GLACIERS et très peu de végétation. Il fait encore plus froid et humide
sur le versant nord qui se trouve longtemps à l’ombre.