POINT D'INTERET

SITUATION

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METEO

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CARTOGRAPHIE

TEXTE DE LA SORTIE

Depuis Montréjau (31) il faut prendre la N125 en direction de Luchon.2 routes différentes vous mèneront jusqu’à  Luchon (D33 ou N125). Je préfère la N125 mais c’est à  vous de voir. De toute facon ces 2 routes se rejoignent 18 km avant Luchon. Ne pas prendre vers l’Espagne (Pont du Roi/ Saint Béat).Poursuivre sur la D125 pour arriver à  l’entrée de Luchon. On suivra en traversant le centre ville la direction de l’Hospice de France et de Superbagnères.Poursuivre après Luchon pendant environ 5 km en légère montée sur la D 125. Ne pas tourner à  droite vers la station de Superbagnères ni à  gauche d’ailleurs (ancienne route éboulée) pour continuer vers l’Hospice.On circule à  travers le bois de Sajust. La route accuse sur deux lacets un pourcentage impressionnant peu avant d’arriver au parking à  gauche après un pont.Normalement pas de problème de stationnement sur ce grand parking.

ACCES AU DEPART

Au parking se diriger vers les batiments,à  droite un chemin de terre se dirige vers le Port de Vénasque. Sur ce chemin à  300 ou 400 mètres,un sentier part sur la droite fléché « Chemin de l’Impératrice ». Le sentier est en sous bois pendant une heure un quart environ (tout plat).En bas l’arrivée du chemin de l’Impératrice est la montée, dans le cirque de la Glère.Au débouché à  une cinquantaine de mètre un sentier s’élève à  gauche.Monter rive droite le ruisseau de la Montagnette.Pas évident parfois on finit par retrouver des cairns vers le haut avec des points bleus, on se reperera à  la cascade la plus à  gauche (il faut la passer à  main gauche).En haut suivre un petit vallon ,d’abord pratiquement tout droit, puis, en suivant une barre rocheuse. Le premier lac « de Maille (2193 m) » est derrière cette barre.Arrivée au lac, contourner par le sud, suivre un petit sentier qui nous conduit à  l’extrémité d’un terrain accidenté et monter à  droite vers le dernier sommet. Plein sud, le versant est toujours en pelouse, il nous fait diriger vers la base du pic de Sauvegarde. tour a tour éboulis, herbe, terrain rocheux, le trajet est évident et bien signalé.Après 30 mn de grimpette facile, atteinte d’un grand replat, puis une crete derrière laquelle se cache le grand lac de la Montagnette. L’effort est vite oublié , la vue sur le lac est splendide avec ses 3 ilots.A sa gauche s’incurve le col de la Montagnette que traverse un large sentier qui longe la berge opposée (chemin de retour).Pour le pic, depuis le col, il faut suivre ses pentes étonnamment douces et faciles. A travers herbes et éboulis, on se fixe pour repère un col légèrement a sa gauche puis, le sommet (après près de 4 h 15 d’effort).En octobre 2006Compte tenu du fort vent présent pendant toute la montée, décision depuis le col de ne pas faire le sommet (qui par ailleurs est bien dans le brouillard deja à  midi …).Retour / DescentePour la redescente, il faut revenir sur nos pas jusqu’au col.Redescente par le lac de Boum, le refuge du Boum (sous le port de Venasque) et les lacets en direction de l’Hospice de France.

Informations complémentaires

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Pour survivre à l’hiver, certains animaux quittent la montagne pour des cieux plus cléments (migration), d’autres s’endorment bien à l’abri (hibernation), mais un bon nombre d’espèces reste présente et doit s’adapter pour faire face au froid. Les animaux continuent donc de se déplacer pour se nourrir et s’abriter. Pour la plupart, ils se cantonnent à un petit territoire qu’ils arpentent discrètement, attentifs aux risques d’une mauvaise rencontre. Dans la neige fraîche, leurs traces de pas sont facilement visibles. On peut voir quelques empreintes qu’il est difficile de suivre mais parfois de véritables pistes laissent deviner par où l’animal s’en est allé. Cette écriture est plus ou moins facile à déchiffrer. Selon la densité et la température de la neige, l’empreinte sera plus ou moins nette.

La vallée (moins de 1.000 m)
La vie y est facile, la température moyenne est de 15°. La période de végétation est
de 8 à 9 mois. C’est l’étage des CULTURES, des CHAMPS DE FLEURS, des FEUILLUS
comme le chêne, le châtaigner etc.
La forêt (de 1.000 à 2.000 m)
La température moyenne est plus basse : de 5 à 15°. La période de végétation dure
de 6 à 7 mois. C’est l’étage de la forêt où poussent des FORETS DE HETRES et en
montant en altitude, beaucoup de RESINEUX (sapins, pins).
Les alpages (de 2.000 à 3.000 m)
La température moyenne varie de 2 à 5°. Il n’y a pas beaucoup d’arbres car il fait
trop froid, il y a DES GRANDES ETENDUES D’HERBE (les alpages) et la végétation est rare.
La haute montagne (au-delà de 3.000 m)
La température moyenne se situe autour de 0°. Il y a des ROCHES, des NEIGES
ETERNELLES, des GLACIERS et très peu de végétation. Il fait encore plus froid et humide
sur le versant nord qui se trouve longtemps à l’ombre.