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SITUATION

CARTOGRAPHIE

TEXTE DE LA SORTIE

Le Carnaval de Venise a des origines très lointaines. Il est cité dès 1094, et en 1269 un Edit du Sénat déclare la veille du Carême jour férié et autorisant le déguisement. De même « la Fête des Marie », qui existe depuis 948 le 2 février est déplacée pour ouvrir le Carnaval. Lors de ces fêtes, des jeux souvent cruels, comme des combats de chiens et de taureaux, des déguisements le plus souvent inspirés de la Commedia dell’Arte mettent la Ville en émoi. Le soir, les théatres et les maisons de jeux s’ouvrent à  tous dans l’anonymat des déguisements.A partir du XVIème siècle, les vénitiens, et ceci pendant plusieurs mois, revêtent la bauta. Elle est composée d’une grande cape noire, le tabarro, d’un capuchon de drap noir, cachant les cheveux, et d’un tricorne noir. Seul le masque, couvrant le visage est blanc. Ce masque, en carton maché et cérusé permettait de boire et de manger sans l’oter. Les femmes pouvaient aussi porter la moretta, masque appliqué sur le visage et retenu sur celui-ci par un bouton tenu entre les dents.Au XVIIIème siècle, le Carnaval, repris en main par la noblesse, atteint le sommet de sa splendeur, faisant ainsi oublier le long déclin de la République. Il abandonne la place publique et ses excès populaires pour les cafés, les théatres et les cercles de jeux. Cependant l’anonymat du bauta permettait aussi toutes les licences, attirant ainsi les curieux de l’Europe entière.A la même époque, « le vol de l’Ange », suite à  l’accident mortel du funambule chargé de descendre du Campanile jusqu’au palaides Doges, est remplacé par une colombe en bois devenant ainsi le « Vol de la Colombe ».Au XIXème siècle, sous l’occupation napoléonienne, le Carnaval fut interdit, puis rétabli, mais très encadré sous la domination autrichienne. Il ne connut plus un très grand succès.Au XXème siècle, en 1970 des étudiants remirent à  l’honneur les « mattacini » qui lancaient des oeufs remplis de parfums aux jolies femmes, mais aussi des oeufs pourris à  celles qui leur déplaisaient. La fête, purement vénitienne, se déroulait sur les divers campi de la ville.En 1980 le Carnaval est officiellement rétabli et connait de suite un immense succès touristique. Le ville se remplit durant 10 jours de « masques » dont le corps est entièrement caché et « d’historiques » portant costumes ou uniformes de diverses époques.Au XXIème siècle, le prologue du Carnaval débute par le « Vol du Rat » ou un cortège de bateaux accompagne l’effigie d’un rat qui explosera, libérant fumée et confettis.Le Carnaval s’ouvre avec le cortège « des Marie », suivi le lendemain du « Vol de l’Ange ».Les places et les rues, mais aussi les fêtes privées, malheureusement payantes, se remplissent de masques de plus en plus originaux et baroques.Le Carnaval se clot avec le « Vol du Lion », large étendard portant le symbole de « la Sérénissime » tombant sur la place saint Marc.

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Pour survivre à l’hiver, certains animaux quittent la montagne pour des cieux plus cléments (migration), d’autres s’endorment bien à l’abri (hibernation), mais un bon nombre d’espèces reste présente et doit s’adapter pour faire face au froid. Les animaux continuent donc de se déplacer pour se nourrir et s’abriter. Pour la plupart, ils se cantonnent à un petit territoire qu’ils arpentent discrètement, attentifs aux risques d’une mauvaise rencontre. Dans la neige fraîche, leurs traces de pas sont facilement visibles. On peut voir quelques empreintes qu’il est difficile de suivre mais parfois de véritables pistes laissent deviner par où l’animal s’en est allé. Cette écriture est plus ou moins facile à déchiffrer. Selon la densité et la température de la neige, l’empreinte sera plus ou moins nette.

La vallée (moins de 1.000 m)
La vie y est facile, la température moyenne est de 15°. La période de végétation est
de 8 à 9 mois. C’est l’étage des CULTURES, des CHAMPS DE FLEURS, des FEUILLUS
comme le chêne, le châtaigner etc.
La forêt (de 1.000 à 2.000 m)
La température moyenne est plus basse : de 5 à 15°. La période de végétation dure
de 6 à 7 mois. C’est l’étage de la forêt où poussent des FORETS DE HETRES et en
montant en altitude, beaucoup de RESINEUX (sapins, pins).
Les alpages (de 2.000 à 3.000 m)
La température moyenne varie de 2 à 5°. Il n’y a pas beaucoup d’arbres car il fait
trop froid, il y a DES GRANDES ETENDUES D’HERBE (les alpages) et la végétation est rare.
La haute montagne (au-delà de 3.000 m)
La température moyenne se situe autour de 0°. Il y a des ROCHES, des NEIGES
ETERNELLES, des GLACIERS et très peu de végétation. Il fait encore plus froid et humide
sur le versant nord qui se trouve longtemps à l’ombre.