POINT D'INTERET

SITUATION

CARTOGRAPHIE

TEXTE DE LA SORTIE

Du parking, rejoindre l’étang d’Izourt.Compter 1h30.On a 2 possibilités- soit suivre le GR10,- soit emprunter une passerelle que l’on trouvera à  droite et un peu avant le départ du GR. Cette dernière possibilité n’est choisie par pratiquement personne, pourquoi ?! Ce chemin est sauvage, très beau et en plus on y est seul (tandis que sur le GR il y a toujours du monde).De l’étang d’Izourt il faut aller aux lacs Petsiguer.Pour cela on passe apres les cabannes, on passe d’abord quelques mètres sur le GR 10A, puis apres les ruines, on est sur un petit plateau. De la, on poursuit jusqu’au fond d’une combe et on bifurque rapidement (environ 600 m après la cabanne) on suit les traces JAUNE par la gauche du lac en prenant garde d’aller vers le haut à  gauche (le chemin va aussi à  droite pour passer au bout du lac et rejoindre une autre vallée). Il faut environ 2h30 depuis Izourt. Le chemin est à  éviter par temps humide car pas mal de gispet en route.Arrivée aux lacs de Petsiguer, on bifurque sur la gauche pour suivre les premiers cairns. On va monter au pic d’Aspre. Il faut aller au bout et on peut y monter par la crête (rester sur la droite) en 1h30.Le début de la sente est assez clair, on évite régulièrement l’arete de gauche et on poursuit de ca et de la jusqu’au 1/3 de la pente (500 m de haut quand même). Le haut de la sente suit plusieurs couloirs d’éboulis.C’est raide, il faut plus ou moins improviser l’itinéraire (quelques cairns), mais la vue vaut le coup.En plus il n’y a presque jamais personne !Du sommet on redescendra au parking en 4h environ.

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Pour survivre à l’hiver, certains animaux quittent la montagne pour des cieux plus cléments (migration), d’autres s’endorment bien à l’abri (hibernation), mais un bon nombre d’espèces reste présente et doit s’adapter pour faire face au froid. Les animaux continuent donc de se déplacer pour se nourrir et s’abriter. Pour la plupart, ils se cantonnent à un petit territoire qu’ils arpentent discrètement, attentifs aux risques d’une mauvaise rencontre. Dans la neige fraîche, leurs traces de pas sont facilement visibles. On peut voir quelques empreintes qu’il est difficile de suivre mais parfois de véritables pistes laissent deviner par où l’animal s’en est allé. Cette écriture est plus ou moins facile à déchiffrer. Selon la densité et la température de la neige, l’empreinte sera plus ou moins nette.

La vallée (moins de 1.000 m)
La vie y est facile, la température moyenne est de 15°. La période de végétation est
de 8 à 9 mois. C’est l’étage des CULTURES, des CHAMPS DE FLEURS, des FEUILLUS
comme le chêne, le châtaigner etc.
La forêt (de 1.000 à 2.000 m)
La température moyenne est plus basse : de 5 à 15°. La période de végétation dure
de 6 à 7 mois. C’est l’étage de la forêt où poussent des FORETS DE HETRES et en
montant en altitude, beaucoup de RESINEUX (sapins, pins).
Les alpages (de 2.000 à 3.000 m)
La température moyenne varie de 2 à 5°. Il n’y a pas beaucoup d’arbres car il fait
trop froid, il y a DES GRANDES ETENDUES D’HERBE (les alpages) et la végétation est rare.
La haute montagne (au-delà de 3.000 m)
La température moyenne se situe autour de 0°. Il y a des ROCHES, des NEIGES
ETERNELLES, des GLACIERS et très peu de végétation. Il fait encore plus froid et humide
sur le versant nord qui se trouve longtemps à l’ombre.