POINT D'INTERET

SITUATION

CARTOGRAPHIE

TEXTE DE LA SORTIE

ACCES AU DEPART

1 – du Col des Boeufs à  la Plaine des TamarinsAprès la barrière, vous empruntez (à  pied) la fin de la route forestière qui vous permettra de bénéficier encore de superbes points de vue sur le cirque de Salazie avant de plonger vers La Nouvellela piste se termine en cul de sac au Col des Boeufs. La vue sur Mafate est assez « intéressante » mais je vous conseille de continuer votre ascension vers l’oratoire du Col des Boeufs (sentier indiqué sur votre droite en regardant le cirque de Mafate) ou vous pourrez bénéficier (au prix d’un effort supplémentaire de 10mn) d’une vision d’ensemble du cirque de Salazie et d’une grande partie de celui de Mafate  !R evenu sur vos pas, vous pouvez marquer une petite pause avant d’aborder la descente vers La Nouvellele cyclone Dina de janvier 2002 a totalement modifié le paysage et, du Col des Boeufs, vous pouvez maintenant suivre la trace du sentier que vous allez emprunter et repérer les nombreux randonneurs qui se dirigent, comme vous, à  La Nouvelle …Depuis le col, la première partie se fait par un escalier aux marches récemment aménagées par l’ONFau bout de 20 mn, vous trouvez sur votre gauche l’embranchement du sentier (1810 m) qui vient du Col de Fourche, l’ancien point d’accès direct à  La Nouvelle, avant le creusement de la route forestière et l’ouverture du Col des Boeufs  ; vous continuez votre descente et peu après, le sentier devient pratiquement platvous êtes dans la Plaine des TamarinsCette partie de votre randonnée peut s’avérer délicate par temps « humide »de nombreux rondins ont été installés par l’ONF pour faciliter votre progression mais, personnellement, je pense que cet aménagement a mal supporté les assauts météorologiques de ces dernières années …Vous arrivez ensuite à  une bifurcationà  gauche, le sentier vous conduirait directement à  Marla, en évitant La Nouvelle mais aujourd’hui, vous devez continuer tout droit .Le bivouac, encore indiqué dans certains guides et autrefois situé à  cet embranchement, a totalement disparu.2 – de la Plaine des Tamarins à  La NouvelleEn traversant cette très belle forêt de tamarins, vous pourrez vous trouver nez à  nez avec les boeufs qui ont élu domicile à  cet endroit (d’ou le nom du col que vous avez franchi il y a 3/4 h).Un petit aparté sur le Tamarin des Hauts qui, dit-on, est venu d’Australie, les graines ayant été amenées par les vents lors d’un cyclonecet « Acacia Hétérophylla » s’est acclimaté aux altitudes comprises entre 1200 et 2000 m et a muté au courdes siècles pour devenir une espèce endémique à  la Réunion, ave la particularité morphologique d’avoir des feuilles de formes différentes suivant son age (jeune ou adulte).Prenez votre temps pour traverser ce paysage envoutant, cette forêt unique dans l’ile, avec ces tamarins parfois hauts de 20m, souvent couchés par les vents et à  moitié déracinés mais rarement morts, recouverts de barbe de Saint Antoine (ou barbe de capucins).Au bout d’1/4 h de cheminement à  plat, vous arrivez au lieu-dit « La Découverte » (1750 m) d’ou vous pouvez commencer à  … découvrir le plateau occupé par La Nouvellevous croisez le « Chemin Charette » (à  l’abandon et resté à  l’état de projet de future route devant desservir La Nouvelle (!) et quelques lacets rapides mais sans difficulté vous conduisent au bout de 20 mn de descente au panneau indiquant le début de l’ilet (commune de la … Possesion à  1420 m d’altitude) (voir photo ci-dessus).Une aire de pique-nique très bien aménagée (à  l’entrée de l’ilet, sur la gauche) vous invite à  une pause bien méritée et en continuant la descente sur quelques mètres vous pourrez vous attabler à  la terrasse du « Salon de thé » de la « capitale » de Mafate.3 – de Piton Maido à  Roche PlateCette randonnée vous permettra d’entrer rapidement dans le cirque de Mafate par un sentier un peu « sportif », tout en descente mais avec un dénivelé de près de 1000m et avec en chemin de superbes points de vue sur le cirque de Mafateen arrivant au lieu-dit « la Brèche », à  mi-parcours, vous trouverez sur votre gauche le sentier arrivant de l’ilet des Orangers (décrit dans la randonnée de la canalisation des Orangers ).carte IGN 4402 RTSaint-Denis – cirques de Mafate et SalazieSi vous avez choisi de faire l’aller et retour, vous pouvez laisser votre voiture sur le bord de la route, juste avant le départ du sentier ou 50 m plus haut, ou vous trouverez quelques places de « parking ».En quittant la route, vous suivez le balisage blanc et vous montez rapidement sur de larges dalles de lavevous arrivez en 10 mn au « Grand Bord » ou « Cassé de Mafate » (2027 m), près d’une grande croix blanche qui pourra vous servir de repère en remontant…Contrairement au site très fréquenté du sommet du Maà¯do, ce point de vue n’est connu que des randonneurs. Prenez donc quelques instants pour apprécier le panorama grandiose et identifier sommets et ilets ainsi que le but de cette randonnée  :  sur votre gauche, au pied du rempart et de la crête des Orangers, l’ilet des Orangers  sur votre droite, on peut deviner quelques cases de Roche Plate (1000 m plus bas  ! )  et face à  vous Grand Place et les plus hauts sommets de l’ile, de la Roche Ecrite au Gros Morne qui vous masque le Piton des Neiges …Point de vue du Maà¯dole belvédère du Maà¯do offre un extraordinaire point de vue sur tout le cirque de Mafate et bien au-delà   ; l’accès facile par la route refaite récemment en fait un lieu de visite « obligé » pour les touristes qui se pressent, nombreux, chaque matin pour découvrir ce site prestigieux.Du parking aménagé, un sentier, très court, vous conduit à  la barrière qui marque le bord du rempart. Une table d’orientation vous permet de vous repérerla Rivière des Galets, qui vient de votre droite, coule à  près de 2000 m en-dessous de vous  ! Si le temps est couvert, soyez patientil est fréquent qu’une brève « embellie » laisse apparaitre sinon tout le paysage, du moindes pans entiers du Cirque ou des montagnes environnantes.le point de départ de cette randonnéephoto de Luc ReynaudCette randonnée peut se découper en trois parties au relief assez différent  :  du Grand Bord (2027 m) à  la croix (1550 m)45 mn de descente abrupte avec, au bout de 30 mn, un point de vue intéressant et nouvellement aménagé (repérez les indications peintes en blanc et quittez le sentier principal pour vous approcher du rempart de la crête des Orangers)  de la croix au lieu-dit « La Brèche » (1300 m)45 mn  ; ayant eu l’occasion de passer fréquemment par ce lieu, je vous déconseille fortement de rester trop longtemps sur cet étroit terre-plein sur la Crête des Orangersen levant les yeux, on peut rapidement repérer de nombreuses failles entre de gros pans de la falaise …Vous pouvez par contre parcourir quelques mètres sur votre gauche (début du sentier qui mène à  l’Ilet des Orangers) et vous approcher du bord du rempart pour découvrir et repérer les ilets qui vous font faceCayenne, Grand Place les Hauts, et encore au-delà  les premières cases de l’ilet à  Bourse, …  de « La Brèche » à  Roche Plate (1100 m)laissons donc le sentier qui part, à  gauche, vers les Orangers et continuons notre descente vers Roche Plate. Le court passage en corniche a été emporté (début 2004) par un éboulementla portion ne fait que quelques dizaines de mètres mais comme elle s »ouvre à  gauche sur le vide, le sentier a été fermé plusieurs semaines. L »ONF a procédé à  la remise en état en construisant un escalier en béton. La main courante ancrée dans la paroi a été changée et le franchissement, toujours impressionnant dans la mesure ou le vide n »est pas loin, ne présente aucune difficulté si on se montre un tant soit peu prudent. L »itinéraire s »enfonce rapidement sous les filaos et en 30 mn de descente facile, à  l’ombre de filaos, vous arrivez au terme de cette étape. La musique d »un ruisseau annonce Roche Plate et les premières cases apparaissent avec leurs champs de maà¯s ou haricots généreusement arrosés ….Accès au départLa Route en direction de Maido  :Jacques Lougnon (plus connu sous le pseudonyme de « vieux tangue ») raconte qu’en 1930, on partait à  pied de la Petite France tracant le sentier avec le sabre à  cannes, au coeoeur de la forêt, et on atteignait le Grand Bord par une piste très difficile. La descente du rempart était si impressionnante qu’elle faisait rebrousser chemin à  plus d’un marcheur.  Ce n’est qu’en 1954 qu’une première piste de Jeep fut ouverte par le maire de Saint-Paul, Evenor Lucas, et ce pour transporter les matériaux de construction nécessaires à  l’école de Roche Plate.En 1966, le cyclone Denise détruira en partie cette route qui sera remise en état l’année suivante. En 1968, la route sera livrée et goudronnée. A partir de 1969, les routedes Tamarins et des Cryptomérias seront ouvertes, une ballustrade sera posée au « cassé » de Mafate et c’est en 1972 que la route prendra son allure actuelle.Aujourd’hui, la réfection récente (en 2001) de la route permet aux véhicules de rejoindre rapidement le Maà¯do depuis le charmant village du Guillaume en roulant sur un véritable tapis.La route en direction du Col des Boeufs  :La route forestière qui vous conduit jusqu’au parking-terminus a été réouverte récemment (début 2003) dans sa totalité après une longue coupure due aux dégats causés par le cyclone Dina (qui a touché la Réunion en janvier 2002)les 6 km de cette route seront entièrement refaits en 2004 et recouverts d’un revêtement qui ne mettra plus à  mal les suspensions de vos véhicules. Si vous avez prévu de passer plus de la journée dans le cirque de Mafate, je vous recommande fortement de vous adresser au gardien (Jean Francois Rivière, dans la petite guérite située à  l’entrée du parking10 ‚¬ pour 2 jours) qui veillera sur votre véhicule car de très nombreuses dégradations ont pu être constatées et ceci dans un passé encore tès proche .. 

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La réputation des Maldives en matière de plongée n’est plus à faire. Le plongeur choisit les Maldives pour ses espèces sous-marines. Sa faune sous-marine est très variée et prolifique. Les récifs sont couverts de superbes coraux durs et mous, de gorgones, et à chaque détour du relief, vous pourrez faire de belles rencontres sous-marines. L’archipel des Maldives est étendu sur près de 700 km du nord au sud, et se situe entre les îles Lakshadweep (Laquedives) au nord, et les Iles Chagos au sud. Ces trois archipels formant un immense relief sous marin composé d’atolls et de récifs coralliens… Quand on dit que les espèces sous-marines des Maldives sont variées, jugez par vous-même. On a répertorié plus de 240 variétés de coraux, plus de 1 000 espèces de poissons, 5 espèces de tortues, etc.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La vallée (moins de 1.000 m)
La vie y est facile, la température moyenne est de 15°. La période de végétation est
de 8 à 9 mois. C’est l’étage des CULTURES, des CHAMPS DE FLEURS, des FEUILLUS
comme le chêne, le châtaigner etc.
La forêt (de 1.000 à 2.000 m)
La température moyenne est plus basse : de 5 à 15°. La période de végétation dure
de 6 à 7 mois. C’est l’étage de la forêt où poussent des FORETS DE HETRES et en
montant en altitude, beaucoup de RESINEUX (sapins, pins).
Les alpages (de 2.000 à 3.000 m)
La température moyenne varie de 2 à 5°. Il n’y a pas beaucoup d’arbres car il fait
trop froid, il y a DES GRANDES ETENDUES D’HERBE (les alpages) et la végétation est rare.
La haute montagne (au-delà de 3.000 m)
La température moyenne se situe autour de 0°. Il y a des ROCHES, des NEIGES
ETERNELLES, des GLACIERS et très peu de végétation. Il fait encore plus froid et humide
sur le versant nord qui se trouve longtemps à l’ombre.