POINT D'INTERET

SITUATION

CARTOGRAPHIE

TEXTE DE LA SORTIE

Une fois passé le lac à  l’entrée des bains, aller à  gauche au fond de la station pour trouver le refuge Casa de Piedra, batisse en  pierre grise.Le chemin prend sur sa droite, indiqué par un panneau « glaciar del infierno » avec  une pancarte et sa carte  (marques rouge  &  blanche GR 11).Le chemin monte assez rudement, en lacets serrés avec des cailloux effleurants suit la rive à  gauche du torrent, dont les cascades égaillent la montée.- Quelques  minutes après le départ, un petit promontoir et une première cascade, au dessus de laquelle un chemin part à  droite, traversant une passerelle. Il ne faut pas le suivre, mais continuer à  gauche (cairns). La montée se poursuit pour atteindre la cascade del pino.- Le chemin sort enfin de la gorge pour déboucher sur un petit replat herbeux et on file vers la droite (lacets) pour continuer. Plus loin, le sentier redescend un peu avant de rejoindre la base du grand ressaut qui retient le lac de Bachimaà±a. Il monte alors en lacets sur la gauche du ressaut et parvient à  une première retenue d’eau le lac inférieur de Bachimaà±a, au bout duquel se dresse un grand barrage.- Suivant toujours  sur la gauche et passe  au dessus  du barrage et du lac supérieur de Bachimaà±a (2207 m), tournant progressivement à  gauche (Ouest) pour en suivre la rive.- A présent, direction les lacs Azules sentier de gauche, toujours le GR 11. On descend alors légèrement pour rejoindre, à  l’Ouest du lac, un plateau ou le torrent serpente. Le sentier traverse et  reprend la montée sur la droite. Nouveau petit replat, à  l’aplomb du barrage du lac Azul inférieur.- Du barrage du lac inférieur, on traverse tout de suite le déversoir, sur la droite. Le chemin monte d’un coup d’une quinzaine de mètres pour passer en contrehaut sur la droite du lac, un moment à  flanc de rochers et demandant un peu d’attention. Il ne faut que 15 minutes pour atteindre le lac Azul supérieur (~2400 m).- Traversant de  gros blocs vers la droite pour contourner le lac, débouchant sur un petit plateau marécageux ou l’on suit les marques du GR 11. On suit à   gauche, au fond du plateau, pour entamer la montée vers le col qui ne pose aucun problème, de grands névés (à  date mi Aout 2014) facilitant même la progression sur les pierriers  pour  atteindre    le col d’Enfer (2721 m).-  On abandonne ici le GR 11, qui file sur la droite au dessus du lac de Tebarray pour rejoindre le col de Piedrafita.La trace (cairns) part sur la  gauche vers  la face N.O. des pics d’Enfer.  Facile à  suivre au début, l’itinéraire se multiplie avec les cairns.  Des cairns partent en traversée montante dans les éboulis, passant sous les névés, et rejoignant l’arête Ouest, le long de laquelle il falloir remonter.  A noter d’autres cairns sont présents  dans les éboulis plus à  gauche, louvoyant entre les ressauts rocheux, pour passer au dessudes névés, et se rapprochent de l’arête N.O. au dessus de nous à  gauche.- La trace se fait plus raide et l’on progresse dandes éboulis souvent instables, alternant avec une trace de terre et de cailloutis, remontant de petits couloirs ou l’on doit s’aider des mains. On laisse alors à  gauche le  sommet du Garmo Blanco (2960 m), Suivant  à  flanc de falaise, plus ou moins à  la limite des schistes rouille et de l’immense dalle de calcaire blanc. == La voie normale (en  petite vire qui remonte progressivement et  redescend un peu par endroits) vers un petit col, à  la limite entre rochers rouille et rochers blancs. Elle est assez impressionnante, car à  flanc d’une immense et très raide paroi, mais plus facile et franche que les pierriers précédents, même si l’on doit parfois s’aider des mains. Le sommet (3073 m sommet occidental des pics d’Enfer)  devant  à  gauche au dessus, accessible sans problème par une sente raide de cailloutis terreux.Les conditions météo du jour brouillard / peu de visibilité et grand vent (prévisions catastrophiques – pluie annoncée à  14 h) alors qu’il était près de 13 heures … nous contraignent à  retourner de la.Sinon la suite aurait pu se dérouler de la facon suivante (sans l’option boucle)= Rejoindre sommet central – le plus haut à  3082 m – par une  taillante d’une bonne centaine de mètres, partie supérieure des grandes falaises calcaires.  En  descendant de quelques mètres à  l’Est, dans les schistes du pic occidental, avant de prendre pied sur la taillante. Elle est plus large qu’il n’y parait, et la seule difficulté réside dans son exposition au vide, qui peut impressionner. Mais le rocher y est bon, et l’on ne s’aide que rarement des mains, progressant la plupart du temps sur le fil même. A l’approche du sommet central, ne pas  s’éloigner du fil.=  pic oriental par une  trace terreuse qui redescend 30  mètres dans les rochers pour atteindre le fond d’une brèche et remonte d’autant, sans poser de problème, pour déboucher au sommet oriental (3076 m).

ACCES AU DEPART

Description

Informations complémentaires

type_sortie

Avis

Il n’y a pas encore d’avis.


Soyez le premier à laisser votre avis sur “Pics d’Enfer (3073 m)”

Pour survivre à l’hiver, certains animaux quittent la montagne pour des cieux plus cléments (migration), d’autres s’endorment bien à l’abri (hibernation), mais un bon nombre d’espèces reste présente et doit s’adapter pour faire face au froid. Les animaux continuent donc de se déplacer pour se nourrir et s’abriter. Pour la plupart, ils se cantonnent à un petit territoire qu’ils arpentent discrètement, attentifs aux risques d’une mauvaise rencontre. Dans la neige fraîche, leurs traces de pas sont facilement visibles. On peut voir quelques empreintes qu’il est difficile de suivre mais parfois de véritables pistes laissent deviner par où l’animal s’en est allé. Cette écriture est plus ou moins facile à déchiffrer. Selon la densité et la température de la neige, l’empreinte sera plus ou moins nette.

La vallée (moins de 1.000 m)
La vie y est facile, la température moyenne est de 15°. La période de végétation est
de 8 à 9 mois. C’est l’étage des CULTURES, des CHAMPS DE FLEURS, des FEUILLUS
comme le chêne, le châtaigner etc.
La forêt (de 1.000 à 2.000 m)
La température moyenne est plus basse : de 5 à 15°. La période de végétation dure
de 6 à 7 mois. C’est l’étage de la forêt où poussent des FORETS DE HETRES et en
montant en altitude, beaucoup de RESINEUX (sapins, pins).
Les alpages (de 2.000 à 3.000 m)
La température moyenne varie de 2 à 5°. Il n’y a pas beaucoup d’arbres car il fait
trop froid, il y a DES GRANDES ETENDUES D’HERBE (les alpages) et la végétation est rare.
La haute montagne (au-delà de 3.000 m)
La température moyenne se situe autour de 0°. Il y a des ROCHES, des NEIGES
ETERNELLES, des GLACIERS et très peu de végétation. Il fait encore plus froid et humide
sur le versant nord qui se trouve longtemps à l’ombre.