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CARTOGRAPHIE

TEXTE DE LA SORTIE

Depuis le refuge de Baysselance (plus court), remonter au col, puidescente en face nord jusqu’au pied (glacier).Approche (depuis le refuge de Baysselance) environ 1h30 du refugeDepuis le refuge de Baysselance, remonter au col de la Hourquette puidescendre dans la moraine un peu à  gauche du sentier principal. On descend au mieux au pied du glacier puis on remonte par la droite jusqu’au niveau d’un filon vert caractéristique situé en contrebas de la rimaye du couloir de Gaube.Approche (depuis le refuge des Oulettes de Gaube) environ 1h30 du refugeDepuis le refuge des Oulettes, rejoindre le glacier des Oulettes que l’on remonte par la droite jusqu’au niveau d’un filon vert caractéristique situé en contrebas de la rimaye du couloir de Gaube.Attaque classiqueL’attaque classique emprunte le filon vert précité (1 spit marque l’attaque)  :Remonter le filon puis obliquer à  droite vers une courte cheminée. En sortir à  droite à  l’aide d’une nervure aux prises déversées et la suivre jusqu’à  une bonne plate-forme. Ensemble de V, 2 longueurs ont été nécessaires à  tirer en ce jour (parfois, 1 peut suffire selon la hauteur du glacier),R1 dans la cheminée de droite.Autres attaques possiblesPar les vires  :Si l’attaque classique s’avère impraticable à  cause de la rimaye, emprunter 100m en contrebas un système de vires déversées à  droite qui permet d’atteindre un dièdre raide ramenant à  gauche vers la plate-forme précitée (V, 2 longueurs, plusieurs attaques possibles).Encore une autre  :25m à  droite de l’attaque classiquemonter 15m en III (1 piton), puis traverser 25m vers la gauche sur un filon vert (5a mal protégeable), et rejoindre la voie facile.La suite de la voie  :Pour rejoindre le pied de l’arête intermédiaire, 2 descriptions à  fusionner  :Traverser légèrement à  gauche (IV-) pour rejoindre le filon d’ophite que l’on suit sur 2 longueurs (III+). La paroi se couche.Progresser au mieux sur 100m (III).Traverser à  gauche dans de vagues vires pour gagner le pied de l’Arête Intermédiaire, peu marquée au début.Au bout de la plateforme, franchir par la gauche un court ressaut (III+) qui mène à  une cuvette peu raide. La remonter sur 100m par le filon vert qui gagne l’arête intermédiaire dans une petite brèche au niveau du premier gendarme (III très peu équipé).Quitter l’arête et monter à  sa gauche, sur 2 filons d’ophite parallèles, qui rejoignent l’arête 50m plus haut (2 spits). Suivre le fil de l’arête jusqu’à  la base d’un gendarme vertical.* 2 possibilités  :  Descendre à  gauche de 3m afin de remonter une cheminée en rocher avec lichen ocre qui borde l’arête (IVet).  Suivre la fissure droit dans le gendarme (6a ou A0, 1 piton).* Pour franchir le 3ème et dernier ressaut de l’arête intermédiaire, 2 possibilités  :  D’abord tout droit, puis par le système de fissures grises et vertes de droite2 courts surplombs (IV+, pitons) amènent à  une bonne terrasse pourvue d’une lame détachée.  Du pied du ressaut, emprunter le système fissuré de gauche (V+), faire relais puis franchir un surplomb (3 pitons 6b ou A0) et rejoindre la terrasse.Continuer plus facilement sur le fil de l’arête intermédiaire dont l’inclinaison diminue (IV- puis III). Elle se termine dans un petit dièdre que l’on franchit par son pan de droite (IV).Du sommet de l’arête intermédiaire, traverser franchement à  gauche sur du calcaire gris facile mais exposé (2 spits) vers la base d’un éperon bien marqué dans les schistes rouges de la partie sommitale (III+).Sortie originaleMonter tout droit le long de cet éperon. On arrive sous un mur plus raide d’une trentaine de mètres qu’il faut gravir au mieux (IV, d’abord tout droit, puis en ascendance à  droite) afin d’atteindre la vire diagonale à  droite qui mène à  l’arête de Gaube (IV, pitons et spits).Le fronton terminal de celle-ci se gravit d’abord par des fissures et dièdres légèrement sur la gauche jusque sous un mur raide.Traverser à  droite par un système de vires superposées qui permet de franchir l’angle Ouest du fronton et de déboucher dandes couloirs plus faciles qui mènent au sommet (III+, pas de IV).La dernière longueur peut se gravir de 2 facons  :Directement vers le haut (relais avec 2 pitons), puis tout droit dans un petit surplomb défendu par une dalle (Vb un piton).15m plus à  gauche par une large cheminée assez esthétique précédée d’une dalle assez franche (V, un coinceur à  la base de la cheminée).Ces 2 options aboutissant directement au sommet.Descente  :Du sommet, rejoindre en contrebas le glacier d’Ossoue par un vague sentier escarpé. Suivre le glacier au Sud-Est en effectuant un crochet rive droite pour éviter les crevasses. Sous celui-ci, revenir à  gauche vers les contreforts Sud du Petit Vignemale ou l’on atteint la moraine principale. Suivre la moraine jusqu’au sentier qui a été emprunté la veille pour monter à  Baysselance et donc descendez le (si vous venez des Oulettes de Gaube, alors, il faut remonter d’abord au refuge de Baysselance, passer le col de la Hourquette puis redescendre sur le GR en direction des Oulettes de Gaube.

ACCES AU DEPART

[googlemap src= »https://maps.google.fr/maps?q=gavarnie+France&hl=fr&ie=UTF8&ll=42.773006,-0.135077&spn=0.009246,0.01929&sll=44.144422,-0.787901&sspn=1.156897,2.469177&t=f&hnear=Gavarnie,+Hautes-Pyr%C3%A9n%C3%A9es,+Midi-Pyr%C3%A9n%C3%A9es&z=16&ecpose=42.76740691,-0.11753117,3104.34,-66.5,81.593,0″ ]

Description

 vignemale_face_nord_classique

Informations complémentaires

type_sortie

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Pour survivre à l’hiver, certains animaux quittent la montagne pour des cieux plus cléments (migration), d’autres s’endorment bien à l’abri (hibernation), mais un bon nombre d’espèces reste présente et doit s’adapter pour faire face au froid. Les animaux continuent donc de se déplacer pour se nourrir et s’abriter. Pour la plupart, ils se cantonnent à un petit territoire qu’ils arpentent discrètement, attentifs aux risques d’une mauvaise rencontre. Dans la neige fraîche, leurs traces de pas sont facilement visibles. On peut voir quelques empreintes qu’il est difficile de suivre mais parfois de véritables pistes laissent deviner par où l’animal s’en est allé. Cette écriture est plus ou moins facile à déchiffrer. Selon la densité et la température de la neige, l’empreinte sera plus ou moins nette.

La vallée (moins de 1.000 m)
La vie y est facile, la température moyenne est de 15°. La période de végétation est
de 8 à 9 mois. C’est l’étage des CULTURES, des CHAMPS DE FLEURS, des FEUILLUS
comme le chêne, le châtaigner etc.
La forêt (de 1.000 à 2.000 m)
La température moyenne est plus basse : de 5 à 15°. La période de végétation dure
de 6 à 7 mois. C’est l’étage de la forêt où poussent des FORETS DE HETRES et en
montant en altitude, beaucoup de RESINEUX (sapins, pins).
Les alpages (de 2.000 à 3.000 m)
La température moyenne varie de 2 à 5°. Il n’y a pas beaucoup d’arbres car il fait
trop froid, il y a DES GRANDES ETENDUES D’HERBE (les alpages) et la végétation est rare.
La haute montagne (au-delà de 3.000 m)
La température moyenne se situe autour de 0°. Il y a des ROCHES, des NEIGES
ETERNELLES, des GLACIERS et très peu de végétation. Il fait encore plus froid et humide
sur le versant nord qui se trouve longtemps à l’ombre.