POINT D'INTERET

SITUATION

CARTOGRAPHIE

TEXTE DE LA SORTIE

ACCES AU DEPART

De Liaucous, on remonte un sentier d’abord pas très dégagé puis ensuite très agréable qui donne vu sur St Pal et en arrière plan Mostuéjouls. A un carrefour, on voit des traces indiquant sur le haut (à  gauche) Le CAUSSE, ce sera notre chemin de retour.[googlemap src= »https://maps.google.com/maps?q=Le+Rozier,+France&hl=fr&ie=UTF8&ll=44.202617,3.198588&spn=0.004515,0.009645&sll=44.145036,3.390039&sspn=0.289226,0.617294&oq=le+rosi,+France&t=f&hnear=Le+Rozier,+Loz%C3%A8re,+Languedoc-Roussillon,+France&z=17&ecpose=44.19797988,3.1892367,737.36,55.327,80.656,0″ ]On atteint en 1 heure environ le village d’Eglazine. Avec trois balisages (GRP, vert et jaune), on longe la zone rocheuse (puis on entame un long parcours en balcon, balisé GRP et vert, légèrement ascendant, dans une forêt parfois dense, mais avec quand même de belles vues vers les gorges, à  droite) passant au dessus du Cirque et sa profondeur sur Le Tarn, on dépasse le hameau de St Marcellin (2 h depuis le départ) (inhabité, seule la chapelle est entretenue) non sans y avoir jeté un coup d’oeil, puis le sentier reprend son ascension dans les pins, les cades, les buis  et les amélanchiers. Les vues sur les Gorges du Tarn deviennent intéressantes.Puis on atteint un carrefour. On va à  gauche et après une nouvelle montée, on arrive à  un autre carrefour ou on va encore à  gauche.Rapidement, on atteint un rocher équipé d’une grotte, qu’on contourne par la gauche. On découvre alors une magnifique clairière , plantée de quelques pins et encadrée de gros blocs rocheux, avec une source qui coule dans un coin (3h 45).Un endroit de rêve pour le pic-nic et même pour le bivouac. Le cheminement reprend avec un balisage vert et un balisage jaune, dans les rochers et la pinède . Celle-ci, contrairement à  certaines de ses consoeurs du Causse Noir ou du Causse Méjean, parait naturelle et non artificielle et possède beaucoup de charme.On progresse sur un large tracé. Au premier carrefour, en suivant le balisage bien visible, on va à  gauche.Une nouvelle progression sur ce grand chemin nous amène à  un second carrefour ou on prend encore à  gauche pour s’engager sur  une piste. Village du Vors (4 h).Plus loin, les balisages vert et jaune se séparent (panneaux). On ne prend pas le jaune qui part à  gauche (direction St Marcellin) mais on poursuit sur le vert, à  droite (direction Vors, Liaucous).Plus loin, à  une nouvelle fourche (panneaux jaunes à  droite), on prend encore à  droite (direction Liaucous). A gauche se poursuivent les balisages jaune et vert mais il n’y a pas de panneau. On profite dans ce secteur de quelques belles vues sur la droite.Puis un sentier panneauté Liaucous part sur la droite, mais on continue a gauche, Enfin (2 h 30), on arrive en vue d’une  maison.On va à  droite en direction d’une ruine en contrebas, en descendant sur une épaule annexe. Passé la ruine, on arrive à   un rocher champignonesque (3 h 40). On ne manque pas d’aller faire un tour sur une plate-forme rocheuse quelques dizaines de mètres au Sud afin de bénéficier d’une vue globale de la chose . Ensuite, on prend une sente au pied du rocher entre celui-ci et la plate-forme précédemment citée et on entame la descente.Celle-ci est splendide, au milieu de falaises aux formes étonnantes, dans une végétation très variée et avec des vues plongeantes vers le Tarn loin en contrebas. En bas, au carrefour, on va à  gauche. On longe les falaises par le bas et on revient enfin sur nos pas jusqu’a Liaucous.

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Pour survivre à l’hiver, certains animaux quittent la montagne pour des cieux plus cléments (migration), d’autres s’endorment bien à l’abri (hibernation), mais un bon nombre d’espèces reste présente et doit s’adapter pour faire face au froid. Les animaux continuent donc de se déplacer pour se nourrir et s’abriter. Pour la plupart, ils se cantonnent à un petit territoire qu’ils arpentent discrètement, attentifs aux risques d’une mauvaise rencontre. Dans la neige fraîche, leurs traces de pas sont facilement visibles. On peut voir quelques empreintes qu’il est difficile de suivre mais parfois de véritables pistes laissent deviner par où l’animal s’en est allé. Cette écriture est plus ou moins facile à déchiffrer. Selon la densité et la température de la neige, l’empreinte sera plus ou moins nette.

La vallée (moins de 1.000 m)
La vie y est facile, la température moyenne est de 15°. La période de végétation est
de 8 à 9 mois. C’est l’étage des CULTURES, des CHAMPS DE FLEURS, des FEUILLUS
comme le chêne, le châtaigner etc.
La forêt (de 1.000 à 2.000 m)
La température moyenne est plus basse : de 5 à 15°. La période de végétation dure
de 6 à 7 mois. C’est l’étage de la forêt où poussent des FORETS DE HETRES et en
montant en altitude, beaucoup de RESINEUX (sapins, pins).
Les alpages (de 2.000 à 3.000 m)
La température moyenne varie de 2 à 5°. Il n’y a pas beaucoup d’arbres car il fait
trop froid, il y a DES GRANDES ETENDUES D’HERBE (les alpages) et la végétation est rare.
La haute montagne (au-delà de 3.000 m)
La température moyenne se situe autour de 0°. Il y a des ROCHES, des NEIGES
ETERNELLES, des GLACIERS et très peu de végétation. Il fait encore plus froid et humide
sur le versant nord qui se trouve longtemps à l’ombre.