POINT D'INTERET

Ce sentier était très fréquenté aux XVII-XIXe s., à l’époque de l’exploitation des mines de fer dans la Principauté.

Non loin de la se trouve le chemin vers le Pic de la Serrera commence sur la route de la Coma de Ransol, après le village du même nom, où vous laisserez votre voiture. Vous longerez un mur en pierre sèche, puis vous monterez en longeant la rivière des Meners jusqu’à la source des Clots de la Llosa où, un peu plus haut, vous traverserez la rivière et commencerez à monter en zigzag jusqu’au lac des Meners de la Coma. De ce point, vous emprunterez le chemin balisé de trois points jaunes en direction nord-ouest et vous traverserez une crête, qui vous mènera au col des Meners, un des gisements de fer les plus importants d’Andorre.

A ne pas manquer, tout près de là, en direction de Canillo, la chapelle romane de Sant Joan de Caselles, joyau de l’art roman catalan (XIème siècle).

 

SITUATION

Depuis le Pic de la Coume de Seignac, on trouve une très belle vue sommitale à gauche sur le pic de Serrera et sur la droite le pic de l’Estany Mort , Mil Menut, … puis des Pics Ransol jusqu’à la Coume de Varilhes. 

CARTOGRAPHIE

TEXTE DE LA SORTIE

Du parking (1950m), suivre au sud-ouest (à gauche en montant) les traces où un panneau marque la direction « Pic Serrera » (en mentionnant pour celui-ci une durée de 02h30) : le balisage présent est clair avec des ronds jaunes.

Rapidement, la piste s’oriente au nord-ouest (droite) et remonte dans le fond de la vallée, en rive droite du ruisseau dels Meners /  torrent du Ransol.

Vers 2150m, il vient buter contre le premier gradin du cirque de Meners. Il se réoriente alors plein ouest, et la pente, jusque là débonnaire, se redresse nettement (2 couloirs sont possibles à la montée).

…..

Retour par le chemin de montée

….

5h30 Parking (1950m)

ACCES AU DEPART

Du Pas de la Case, poursuivre sur la CG-2. Passer le Col et redescendre coté Grau du Roig, continuer jusqu’au village d’El Tarter De là, dans le village, prendre à droite la direction de Ransol. Passer Ransol et poursuivre sur la route toujours goudronnée. On pourra se garer au terminus de la route, la où la neige le permet.

Description

Photothèque de la sortie :

Février 2023 :


 

Informations complémentaires

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Pour survivre à l’hiver, certains animaux quittent la montagne pour des cieux plus cléments (migration), d’autres s’endorment bien à l’abri (hibernation), mais un bon nombre d’espèces reste présente et doit s’adapter pour faire face au froid. Les animaux continuent donc de se déplacer pour se nourrir et s’abriter. Pour la plupart, ils se cantonnent à un petit territoire qu’ils arpentent discrètement, attentifs aux risques d’une mauvaise rencontre. Dans la neige fraîche, leurs traces de pas sont facilement visibles. On peut voir quelques empreintes qu’il est difficile de suivre mais parfois de véritables pistes laissent deviner par où l’animal s’en est allé. Cette écriture est plus ou moins facile à déchiffrer. Selon la densité et la température de la neige, l’empreinte sera plus ou moins nette.

La vallée (moins de 1.000 m)
La vie y est facile, la température moyenne est de 15°. La période de végétation est
de 8 à 9 mois. C’est l’étage des CULTURES, des CHAMPS DE FLEURS, des FEUILLUS
comme le chêne, le châtaigner etc.
La forêt (de 1.000 à 2.000 m)
La température moyenne est plus basse : de 5 à 15°. La période de végétation dure
de 6 à 7 mois. C’est l’étage de la forêt où poussent des FORETS DE HETRES et en
montant en altitude, beaucoup de RESINEUX (sapins, pins).
Les alpages (de 2.000 à 3.000 m)
La température moyenne varie de 2 à 5°. Il n’y a pas beaucoup d’arbres car il fait
trop froid, il y a DES GRANDES ETENDUES D’HERBE (les alpages) et la végétation est rare.
La haute montagne (au-delà de 3.000 m)
La température moyenne se situe autour de 0°. Il y a des ROCHES, des NEIGES
ETERNELLES, des GLACIERS et très peu de végétation. Il fait encore plus froid et humide
sur le versant nord qui se trouve longtemps à l’ombre.