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CARTOGRAPHIE

TEXTE DE LA SORTIE

A noter prendre une frontale car 4 tunnels à  prendre (dont un un peu long et des traces de boues bien marquées !).Depuis la droite du parking du barrage (ne pas aller près du téléphérique, ca ne sert à  rien). Prendre le chemin appellé chemin du Picolo jusqu’à  l’étang de Gentos.1 h On passe entre l’étany Gento et la maison du parc naturel et on poursuit idéalement depuis la maison juste a cote du téléphérique- soit par le chemin classique (un peu longuet),- soit au dessus de la maison, just een face quelques points orange mènent, par une voie alpine par moment cairnée (suivre les cretes et au dessus les vallons) bcq plus rapidement jusqu’au refuge de Colomina.1h 30 Du refuge, on reste sur la meme rive (pas la peine de prendre le sentier en face des cailloux / pierriers inutiles), on traverse le lac, on passe au fond entre l’Estany de Colomina et l’estany de Mar (ou l’on reprend les traces du GR – Carros de Foc). On garde ces traces qui continuent à  monter (très raide meme avec des escaliers) quelques peu de temps ensuite.Au dessus, on arrive toujours en montant (moins raide) au barrage de l’Estany de Saburo et on apercoit le sommet. Ce n’est pas finit, car il faut à  présent rejoindre le Col de Saburo en traversant à  l’horizontale dans un premier temps un grand pierrier, puis en se redressant, une montée herbeuse bien indiquée et pas difficile.Arrivé au col, on se dirige avec l’aide de cairns alors vers le Nord pour rejoindre la crete en restant principalement sur la vallée qui domine de l’autre coté le Lac du cap de port.On traverse quelques passages délicats (pas de I et de II) pour rejoindre en final le sommet barré de nombreux blocs qui laissent tout de meme des points de passage.

ACCES AU DEPART

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Pour survivre à l’hiver, certains animaux quittent la montagne pour des cieux plus cléments (migration), d’autres s’endorment bien à l’abri (hibernation), mais un bon nombre d’espèces reste présente et doit s’adapter pour faire face au froid. Les animaux continuent donc de se déplacer pour se nourrir et s’abriter. Pour la plupart, ils se cantonnent à un petit territoire qu’ils arpentent discrètement, attentifs aux risques d’une mauvaise rencontre. Dans la neige fraîche, leurs traces de pas sont facilement visibles. On peut voir quelques empreintes qu’il est difficile de suivre mais parfois de véritables pistes laissent deviner par où l’animal s’en est allé. Cette écriture est plus ou moins facile à déchiffrer. Selon la densité et la température de la neige, l’empreinte sera plus ou moins nette.

La vallée (moins de 1.000 m)
La vie y est facile, la température moyenne est de 15°. La période de végétation est
de 8 à 9 mois. C’est l’étage des CULTURES, des CHAMPS DE FLEURS, des FEUILLUS
comme le chêne, le châtaigner etc.
La forêt (de 1.000 à 2.000 m)
La température moyenne est plus basse : de 5 à 15°. La période de végétation dure
de 6 à 7 mois. C’est l’étage de la forêt où poussent des FORETS DE HETRES et en
montant en altitude, beaucoup de RESINEUX (sapins, pins).
Les alpages (de 2.000 à 3.000 m)
La température moyenne varie de 2 à 5°. Il n’y a pas beaucoup d’arbres car il fait
trop froid, il y a DES GRANDES ETENDUES D’HERBE (les alpages) et la végétation est rare.
La haute montagne (au-delà de 3.000 m)
La température moyenne se situe autour de 0°. Il y a des ROCHES, des NEIGES
ETERNELLES, des GLACIERS et très peu de végétation. Il fait encore plus froid et humide
sur le versant nord qui se trouve longtemps à l’ombre.