POINT D'INTERET

A l’entrée, avant les gorges du Verdon, entre Manosque et Moustiers Sainte Marie (et le lac de Sainte Croix).
Entre les distilleries, de nombreux champs de lavande / tournesols d’un plus bel effet par les journées ensoleillées.
* Plus haut sur les plateaux, le village abandonné de Chateauneuf les Moustiers.
Le village de Châteauneuf-les-Moustiers est perché au sommet d’une petite colline et domine la plaine avoisinante. Cette ancienne commune, riche de nombreux hameaux, comptait encore 600 habitants en 1836. Un sentier de découverte permet de revenir sur le patrimoine et l’histoire de ce village aujourd’hui abandonné.  » La volonté de ses habitants est désormais de garder le village comme témoignage du temps passé. Ce site restera donc un lieu de mémoire pour faire connaître et respecter la vie des gens du haut pays.  » (Office de tourisme des gorges du Verdon La Palud sur Verdon – Rougon).
– Le Château Vieux date du XIIe siècle.  » Mentionné pour la première fois en 1062, ce château a rassemblé sous sa falaise la population de l’oppidum préromain et des domaines agricoles environnants ». Les Moustiers érigent le premier  » Castellum Novum  » qui va donner son nom à la seigneurie. A partir du Xe siècle, les compagnons du comte de Provence, parents des vicomtes de Marseille, seigneurs d’Apt, de Castellane, de Rougon, comte de Barcelone et roi d’Aragon, se disputent la région au travers de batailles, dots, mariages et autres héritages.
– Arrivé au village, la maison qui domine l’oratoire a servi de presbytère avant les troubles de la Révolution, elle est alors confisquée pour abriter la mairie.
– Un oratoire « reconverti » en monument aux morts rappelle les noms de 11 hommes nés à Châteauneuf les Moustiers et morts au cours de la Grande Guerre :  » Guerre 1914 – 1918 A la mémoire des enfants de Châteauneuf morts pour la patrie « .
Un site très bien documenté sur le village

* La Palud sur Verdon :

Ce village, dit en latin Palus, tire son nom de palus qui veut dire marais, non qu’on y en trouve quelqu’un maintenant, mais parce qu’après une forte pluie la plaine ressemble à un grand réservoir. Ce village est bâti sur un mamelon, dans une fort jolie plaine, à quelque distance de la rive droite du Verdon … Le terroir de La Palud abonde en pétrifications très curieuses : il produit du blé, du vin, de l’huile, des légumes et des fruits. Les champignons forment une récolte, lorsqu’il pleut dans le mois d’août et de septembre. Au quartier de Saint-Maurice, l’on voit avec admiration, trois grandes prairies situées en amphithéâtre, d’une hauteur prodigieuse. Une source les arrose en se précipitant de l’une à l’autre, et forme de très belles cascades. …

 

Dans la partie des «  Gorges   » se trouvent les plus belles randonnées que l’on puisse effectuer dans ces lieux magiques  :

* Le sentier Martel  ;

Ce sentier, aménagé en 1928 par le Touring Club de France portera dès 1930 le nom de «  Sentier Martel   » du nom du spéléologue francais edouard-Alfred Martel (1859-1938).Martel se rend dans le Verdon en 1905 sur demande de M.  Jaquette, de la Compagnie electrique du Sud Est, afin de faire des relevés hydrogéologiques précis sur la rivière Verdon. Le 11 aout 1905, Martel avec une équipe de plusieurs personnes prend le chemin muletier qui va de Rougon au Couloir Samson. Parmi cette équipée, se trouvent entre autres les personnes suivantes  :

* Armand Janet qui avait tenté, sans succès, une exploration en 1896  ;

* Isidore Blanc, qui était maitre d’école à  Rougon  ;

* Les frères Audibert, Daniel Carbonel, Le Coupey  ;

* Baptistin Flory, Fernand Honorat, Prosper Maurel  ;

* Zurcher, Teissier et le géographe Cuvelier.

Ces hommes partent à  bord de trois barques de bois et de toile. Après une journée mouvementée, le groupe établit un premier campement à  la «  Baume-aux-Pigeons   », après avoir rebroussé chemin. Dès le 12 aout, une barque étant inutilisable, les hommes de l’équipée doivent porter le matériel et les provisions à  dos d’homme. Martel et son compagnon vont jusqu’à  la Mescla (du provencal «  mesclun   » qui signifie mélange), lieu ou l’Artuby se jette dans le Verdon). Les autres hommes suivent, allant de gué en gué en portant l’embarcation devenue inutilisable. La suite du parcours se fait par les bords, sur terre, par manque d’eau dans la rivière. Il arrivent à  mi-journée au lieu-dit l’Estellié. En début de soirée, il fait déjà  nuit lorsque les hommes arrivent dans un étroit couloir, à  qui Martel donne le nom de «  Styx   » (nom de l’un des fleuves menant aux enfers, dans la mythologie grecque). Dans ce couloir, une deuxième barque se fracasse, envoyant hommes et matériel dans les eaux. Le second campement est établi à  l’Imbut (en provencal, «  étroit   » ou «  entonnoir   »). Les principaux récits disent qu’à  l’Imbut, Martel aurait songé à  renoncer à  cette expédition, mais qu’il fut encouragé à  continuer par ses équipiers, qui ne voulaient pas abandonner, au regard des efforts accomplis pour arriver jusque-là. Le 13 aout, le groupe repart en direction du Baou Béni et pénètre dans le canyon proprement dit. La progression est fastidieuse et très difficile, notamment le passage du Chaos de l’Imbut. Un troisième campement est établi au lieu-dit «  les Cavalets   ». Le 14 aout, la lente progression continue, parmi les troncs d’arbres et les chaos de rochers. Une partie de l’équipe abandonne au «  Pas de Mayreste   ». Ces hommes sont épuisés et découragés. Le groupe restant, dont Martel et Armand arrivent finalement au «  Pas du Galetas   », près du pont romain d’Aiguines (aujourd’hui disparu sous les eaux du lac artificiel de Sainte-Croix). La première exploration du grand canyon du Verdon est réussie. Martel et une partie de son équipe font une autre tentative en 1906, avec de meilleurs équipements. En 1928, entre le 21 et le 26 juillet, Robert de Joly effectue une traversée complète des Gorges du Verdon. Il est le premier à  franchir les salles de l’Imbut à  bord d’une sorte de canoe en caoutchouc. En 1938, un explorateur et cinéaste francais Albert Mahuzier effectue des repérages dans les Gorges, pour un film qu’il tourne en 1939.En 1945, un groupe de scouts effectue une reconnaissance du canyon et, en 1946, des membres du Canoe « Club de France font l’intégrale des Gorges et du Grand canyon. Un autre grand spécialiste des Gorges du Verdon, Roger Verdegen, parcourt pendant des années le Verdon à  l’aide d’une embarcation faite de boudins en caoutchouc. Au fil des années, il a écrit un ouvrage qui est une référence en la matière.

* Le sentier de l’Imbut  ;

Le Sentier de l’Imbut est l’une des randonnées les plus belles des Gorges du Verdon, mais peut-être aussi la plus technique et la plus difficile. Elle représente un parcours d’environ 6 à  8 kilomètres, avec près de 340 mètres de dénivelé en descente et en 400 mètres en montée. Cette randonnée durera de 4 à  6 heures, en fonction des options choisies Le chemin débute sur la rive gauche du Verdon, au bord de la D71, juste avant l’Hotel des Cavaliers. En belle saison, si l’on part de bonne heure, on aura la chance de pouvoir garer son véhicule sur la plateforme située juste après l’hotel, à  coté du Poste de Secourdes Sapeurs-pompiers du département du Var (Container rouge). Si les hommes sont présents (en général, du 15 juin au 15 septembre), ils seront d’excellents conseillers et pourront vous expliquer le parcours. En effet, ces sapeurs sauveteurs parcourent tous les jours le sentier afin de secourir des imprudents ou des randonneurs non expérimentés. Il n’est pas rare de croiser des personnes chaussées de sandalettes, voire de «  tongs   ». Comme pour le Gorges du Verdon Le Sentier Martel, les chiens sont interdits de parcours. De même, cette randonnée est déconseillée aux enfants en dessous de 10 ans. Certains passages sont acrobatiques et risqués. Le départ du sentier est indiqué par un grand panneau de bois, indiquant l’itinéraire. Après quelques minutes de marche, on arrive au haut de la falaise des Cavaliers. Puis le sentier continue, en lacets et en descente rapide et glissante. La roche est patinée et dangereuse par temps de pluie. Par endroit, il y a des marches taillées dans le rocher, des petits escaliers métalliques pour faciliter la progression. Le sentier continue sa course, longeant la falaise à  travers la forêt de chênes, de pins et de buis. Au bout de 30 à  40 minutes, on arrive sur une plage de galets, puis 200 en aval, à  la nouvelle «  Passerelle de l’Estellié   ». Cette nouvelle arche en structure métallique, ultra moderne, permet de franchir le Verdon et de rejoindre le Sentier Martel, ou le chalet de la Maline. Cette passerelle, officiellement ouverte depuis 2004, remplace l’ancienne qui a été emportée par les fortes crues du Verdon en novembre 1994. De cet endroit, on peut remonter en 45 minutes au chalet-refuge du CAF, le chalet de la Maline, départ du Sentier Martel. Ne pas traverser le Verdon, et continuer à  longer la rivière, en direction de l’aval. La marche est relativement facile, on ne s’écarte jamais beaucoup du cours d’eau, on monte et on redescend très légèrement au dessus du niveau de l’eau. On passe près d’une baume de grande taille. On traverse ensuite un bois avec des hêtres de très grande taille. Ce bois est frais et sombre, presque inquiétant, lorsque on y chemine seul pour la première fois. Ensuite le sentier remonte à  une vingtaine de mètres au dessus du Verdon. à€ cet endroit, on peut voir des surplombs rocheux et des concrétions de calcaire en formation. Continuant la course, longeant toujours la falaise, le sentier s’élève à  une hauteur d’environ 50 mètres au dessus de l’eau. On arrive devant le célèbre vieux cade genévrier qui est certainement âgé de deux à  trois mille ans. à€ cet endroit, on surplombe le Verdon et la vue est magnifique. Le sentier redescend ensuite sur de la roche glissante et les vieux câbles servant de main courante sont les bienvenus. On arrive maintenant au «  Styx   », lieu nommé ainsi par le spéléologue français edouard-Alfred Martel, lors de son exploration du Verdon, avec une équipée d’hommes et de matériel, en 1905. Le «  Styx   » est dans la mythologie grecque, l’un des fleuves menant aux Enfers. Le lieux est signalé par une plaque de bois posée sur un rocher. Cet endroit est un mini canyon, à  l’intérieur du Grand Canyon. On y voit des vasques et des marmites creusées par l’érosion dans la roche calcaire blanche des gorges. Le Verdon y coule lentement et y est d’un vert émeraude profond. Il faut être très prudent en ce lieu, afin de ne pas tomber dans la rivière. Continuant le trajet, on atteint maintenant le «  passage du mauvais gué   » ou «  Maugé   ». Cet endroit est un chaos de blocs de rochers, très beau, avec une voute très importante. Puis, c’est la grande vire, surplombant la rivière d’une hauteur d’environ 20 mètres. Elle est large de 70 centimètres. Un câble tenu par des anneaux fixés dans la roche sert de main courante et est le bienvenu dans cet endroit glissant au possible. En cours de route, une stèle, rendant hommage à  une homme d’une trentaine d’années, est là  pour nous rappeler que la prudence doit être de mise en ces lieux Maintenant, le sentier reprend parmi les buis et les chênes, et monte progressivement jusqu’à  l’intersection du Sentier Vidal, qui constitue normalement le point de sortie de cette randonnée. Si l’on est pas trop à  court de temps, et pas trop fatigué, il faut continuer la randonnée en direction de l’Imbut, endroit ou la falaise se rétrécit et ou le Verdon disparait dans des galeries souterraines. A cet endroit, le sentier longe la falaise à  travers bois et le Verdon n’est plus visible. Le chemin n’est pas très facile, ca monte et ca redescend. Après 15 minutes de marche et de progression lente, on arrive enfin à  l’Imbut, et sa plage de galets. Le courant devient plus fort, et soudain la rivière disparait sous un énorme chaos rocheux, à  l’endroit ou les deux falaises forment une sorte d’entonnoir. Les départements du Var et des Alpes-de-Haute-Provence ne sont séparés que par quelques mètres de distance. On peut encore continuer la randonnée, au-delà  de l’Imbut. Continuer sur la gauche de la stèle, en escaladant les énormes blocs formant le chaos. Il faut être très prudent en ce lieu. En effet, par endroit, les interstices entre les rochers forment des pièges dont il serait impossible de se sortir si l’on se trouve seul à  cet endroit. On risque également de glisser et chuter lourdement. Toute blessure grave rendant quasiment impossible la sortie par le Sentier Vidal, et nécessiterait la venue des sapeurs pompiers pour vous sortir de ce mauvais pas.Le mieux, pour traverser le chaos de l’Imbut, et de bien rester sur la gauche, et de suivre les traits de peinture blanche, qu’il faut chercher parfois, mais indiquant parfaitement le chemin le plus sur et le plus facile pour parvenir à  cet endroit magique que l’on nomme le Baou Béni.C’est une petite plage superbe, ou la lumière est magique. Il y règne un silence reposant et imposant. Le cheminement au-delà  est impossible et la randonnée se termine ici. Se reposer dans ce lieu idyllique se prêtant à  merveille au pique-nique. Ne laissez aucun déchet si vous buvez ou vous restaurez ici.Retourner sur ses pas, toujours en suivant les lignes blanches, puis arrivant de nouveau à  l’Imbut, continuer le chemin afin de retrouver la bifurcation du Sentier Vidal. Le départ du Sentier Vidal, est très raide et très impressionnant. C’est une sorte d’escalier, taillé dans la roche, très étroit, avec un câble en guise de main courante et de trente mètre de dénivelé. Puis, le sentier serpente en lacets serrés et très raides, parfois sur de la terre rendue glissante par l’érosion. On passe près d’une belle grotte, puis un éboulis étroit. On arrive enfin aux deux échelles métalliques et le sentier rejoint le petit plateau qui mène à  la route D71. Ce dernier parcours, difficile, raide et dangereux prend environ 45 minutes. Il faut y être très prudent, surtout en cas de pluie ou d’orage. Il est totalement déconseillé et même interdit, dans le sens de la descente. Le Sentier Vidal ou Accès Vidal tire son appellation du nom d’un ingénieur francais qui a ouvert cette voie lors des travaux entrepris pour aménager le Verdon au début des années 1900. C’était probablement une voie de secours pour remonter les ouvriers accidentés. Après la jonction avec la D71, il y a deux itinéraires possibles pour rejoindre l’hotel des Cavaliers. Le premier est de prendre la route, qu’il faudra longer en prenant bien garde aux véhicules, la circulation étant très dense à  certaines périodes de l’année. Ce cheminement est pénible par temps de grand soleil, mais il permet d’avoir de très beaux coups d’oeil sur les gorges depuis certains virages. L’autre cheminement, est de traverser la route et de prendre le chemin balisé en jaune, qui monte légèrement dans la prairie, puis dans la forêt. Ce chemin part ensuite sur la gauche et redescend en direction de l’hotel. Il est plus agréable que la route, mais on ne vois plus les gorges.

* Le belvédère de Rancoumas par le pont de Tusset  ;

* Le sentier du Bastidon, au départ du village de la Palud-sur-Verdon, chemine sur 5 km (4h30 aller-retour) au cœur des Gorges du Verdon jusqu’au col de Mayreste, puis fait prendre de la hauteur aux randonneurs sur la montagne de Barbin.

* La randonnée « Plein Voir par le col de l’Âne » vous offre un point de vue exceptionnel sur la rencontre entre le lac de Sainte-Croix et les Gorges

* …

SITUATION

Pendant la période du Trias, la Provence s’affaisse et la mer la recouvre, déposant d’épaisses couches de calcaires divers. Pendant la période Jurassique, la Provence est recouverte d’une mer chaude et peu profonde, facilitant la multiplication des coraux. Au Crétacé, la Basse Provence se rehausse et la mer atteint l’emplacement actuel des Alpes. L’ère Tertiaire voit l’édification des Alpes. La fracture des calcaires jurassiques façonne les reliefs et les vallées. C’est à cette époque que le Verdon trace son cours. Au Quaternaire, les glaciations transforment les cours d’eau et les lacs en redoutables fleuves de glace, qui modèlent les reliefs en taillant et striant le paysage. A la fin de ces glaciations, les eaux des rivières continuent leur érosion et notamment, le Verdon, en creusant son lit dans les sédiments calcaires coralliens accumulés au secondaire, avec un débit d’eaux tumultueuses avoisinant 2 000 à  3 000 mètres cubes par seconde. Le site est devenu un site naturel protégé depuis le 7 mai 1990

CARTOGRAPHIE

TEXTE DE LA SORTIE

ACCES AU DEPART

Description

Photothèque Septembre 2007 :

Néant.

 

Photothèque Juillet 2021 :

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Pour survivre à l’hiver, certains animaux quittent la montagne pour des cieux plus cléments (migration), d’autres s’endorment bien à l’abri (hibernation), mais un bon nombre d’espèces reste présente et doit s’adapter pour faire face au froid. Les animaux continuent donc de se déplacer pour se nourrir et s’abriter. Pour la plupart, ils se cantonnent à un petit territoire qu’ils arpentent discrètement, attentifs aux risques d’une mauvaise rencontre. Dans la neige fraîche, leurs traces de pas sont facilement visibles. On peut voir quelques empreintes qu’il est difficile de suivre mais parfois de véritables pistes laissent deviner par où l’animal s’en est allé. Cette écriture est plus ou moins facile à déchiffrer. Selon la densité et la température de la neige, l’empreinte sera plus ou moins nette.

La vallée (moins de 1.000 m)
La vie y est facile, la température moyenne est de 15°. La période de végétation est
de 8 à 9 mois. C’est l’étage des CULTURES, des CHAMPS DE FLEURS, des FEUILLUS
comme le chêne, le châtaigner etc.
La forêt (de 1.000 à 2.000 m)
La température moyenne est plus basse : de 5 à 15°. La période de végétation dure
de 6 à 7 mois. C’est l’étage de la forêt où poussent des FORETS DE HETRES et en
montant en altitude, beaucoup de RESINEUX (sapins, pins).
Les alpages (de 2.000 à 3.000 m)
La température moyenne varie de 2 à 5°. Il n’y a pas beaucoup d’arbres car il fait
trop froid, il y a DES GRANDES ETENDUES D’HERBE (les alpages) et la végétation est rare.
La haute montagne (au-delà de 3.000 m)
La température moyenne se situe autour de 0°. Il y a des ROCHES, des NEIGES
ETERNELLES, des GLACIERS et très peu de végétation. Il fait encore plus froid et humide
sur le versant nord qui se trouve longtemps à l’ombre.