POINT D'INTERET

SITUATION

CARTOGRAPHIE

TEXTE DE LA SORTIE

ACCES AU DEPART

OuvreursClassique – Maurice Samuel et Felix Soleil en 1939 Sortie des artistes – Maxime André et Jacques Ratti en 1967. Après avoir mangé sur la plage d’en vau un bon en-cas bien mérité (voir Pilier des Américains / Révolution), nous voila repartis pour une nouvelle escalade d’après midi. Cette fois ci, c’est un pilier un peu plus protégé du mistral et encore au soleil (face Sud Ouest) qui nous attend. En partant avec les sacs chargés, la sortie permet de ne pas revenir en bas d’En vau (appréciable pour un retour voiture pas trop tard).  

Description

Le départ est facile à  trouver, juste a droite du petit muret lui meme a droite de la fin de la « Petite Aiguille ».   Quatre longueurs composent cette voie bien équipée sur un rocher à  gouttes d’eau.   Longueur 14c, 35m. Attaquer par une dalle sculptée puis gravir un dièdre vertical pour se rétablir sur une petite marche.   Longueur 23b, 50m. Gravir sur le fil de l’arête une succession de ressauts pour venir contre le grand mur sommital. Beaucoup de tirage.   Longueur 35a, 35m. Du relais de la Saphir, gravir le ressaut jusqu’au premier buisson puis remonter une dalle à  goutte d’eau sur la droite. Relais juste au-dessus d’un arbre mort.   Longueur 44c, 35 m. Longueur sur l’éperon qui permet d’apercevoir tout le maginifique de l’eau en dessous.   Longueur 53b, 15 m. Un dernier passage au fil de l’arète.   Variante – sortie des artistes5c, 35m. Dalle technique (un pas de 5c, puis 5a/b), puis fissure.     RetourPoursuivre la sente pour gagner le plateau et rejoindre la calanque par le tracé bleu (sur la gauche) ou par l’ancien tracé qui ramène sur la Gardiole en passant tout d’abord par l’auberge de Jeunesse de La Fontasse – 175m d’altitude.

Informations complémentaires

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Pour survivre à l’hiver, certains animaux quittent la montagne pour des cieux plus cléments (migration), d’autres s’endorment bien à l’abri (hibernation), mais un bon nombre d’espèces reste présente et doit s’adapter pour faire face au froid. Les animaux continuent donc de se déplacer pour se nourrir et s’abriter. Pour la plupart, ils se cantonnent à un petit territoire qu’ils arpentent discrètement, attentifs aux risques d’une mauvaise rencontre. Dans la neige fraîche, leurs traces de pas sont facilement visibles. On peut voir quelques empreintes qu’il est difficile de suivre mais parfois de véritables pistes laissent deviner par où l’animal s’en est allé. Cette écriture est plus ou moins facile à déchiffrer. Selon la densité et la température de la neige, l’empreinte sera plus ou moins nette.

La vallée (moins de 1.000 m)
La vie y est facile, la température moyenne est de 15°. La période de végétation est
de 8 à 9 mois. C’est l’étage des CULTURES, des CHAMPS DE FLEURS, des FEUILLUS
comme le chêne, le châtaigner etc.
La forêt (de 1.000 à 2.000 m)
La température moyenne est plus basse : de 5 à 15°. La période de végétation dure
de 6 à 7 mois. C’est l’étage de la forêt où poussent des FORETS DE HETRES et en
montant en altitude, beaucoup de RESINEUX (sapins, pins).
Les alpages (de 2.000 à 3.000 m)
La température moyenne varie de 2 à 5°. Il n’y a pas beaucoup d’arbres car il fait
trop froid, il y a DES GRANDES ETENDUES D’HERBE (les alpages) et la végétation est rare.
La haute montagne (au-delà de 3.000 m)
La température moyenne se situe autour de 0°. Il y a des ROCHES, des NEIGES
ETERNELLES, des GLACIERS et très peu de végétation. Il fait encore plus froid et humide
sur le versant nord qui se trouve longtemps à l’ombre.