POINT D'INTERET

SITUATION

CARTOGRAPHIE

TEXTE DE LA SORTIE

Du parking du Pla de Las Peyres (1696 m), remonter la vallée. Peu de temps après (1706 m), on arrive à  l’intersection de deux vallées, prendre celle de gauche en remontant le ruisseau de l’ Estagnol dans la jasse de Pinet. Quitter le ruisseau (1890 m) pour partir sur la gauche et se rendre à  la cabane pastorale de Garsan (1900 m).De la, il faut monter à  flanc (gauche) et suivre le sentier balisage JAUNE surplombant le ruisseau pour parvenir au refuge du Rulhe (2185 m).On passe derrière le refuge pour prendre le G.R.10, on parvient rapidement sur un replat dans la clotes de Carsan. On suit ce sentier GR jusqu’au col des Calmettes.Quand on se trouve à  celui-ci, le sentier quitte le GR 10 et vire sur la droite descend puis remonte en s’engageant rapidement dans une zone d’éboulis. De là  commence les difficultés de l’ascension, on grimpe à  flanc de pente du massif en se dirigeant vers la droite et l’on finit par se retrouver au abord du déversoir qui se transforme en couloir (2650 m). On remonte le couloir herbeux mais stable (attention passage croulant et raide) pour sortir sur un collet a doite de l’arête sommitale.De ce col, on remonte tout droit au travers de gros blocs que l’on passe en s’aidant des mains (escalade facile) pour parvenir finalement au pic de Rulhe (2784 m) sur la gauche, on peut également faire le sommet à  droite du collet.Le retour du collet se fait en sens inverse.Retour / Descente   Au retour au col des Calmettes, puis sentier a nouveau balisé GR jusqu’au refuge de Rulhe.

ACCES AU DEPART

Description

Refuge du Rulhe  :Tél refuge05.61.65.65.01Tél Gardien06.72.20.20.60Site internet du refugeMétéo du jour  soleil

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Pour survivre à l’hiver, certains animaux quittent la montagne pour des cieux plus cléments (migration), d’autres s’endorment bien à l’abri (hibernation), mais un bon nombre d’espèces reste présente et doit s’adapter pour faire face au froid. Les animaux continuent donc de se déplacer pour se nourrir et s’abriter. Pour la plupart, ils se cantonnent à un petit territoire qu’ils arpentent discrètement, attentifs aux risques d’une mauvaise rencontre. Dans la neige fraîche, leurs traces de pas sont facilement visibles. On peut voir quelques empreintes qu’il est difficile de suivre mais parfois de véritables pistes laissent deviner par où l’animal s’en est allé. Cette écriture est plus ou moins facile à déchiffrer. Selon la densité et la température de la neige, l’empreinte sera plus ou moins nette.

La vallée (moins de 1.000 m)
La vie y est facile, la température moyenne est de 15°. La période de végétation est
de 8 à 9 mois. C’est l’étage des CULTURES, des CHAMPS DE FLEURS, des FEUILLUS
comme le chêne, le châtaigner etc.
La forêt (de 1.000 à 2.000 m)
La température moyenne est plus basse : de 5 à 15°. La période de végétation dure
de 6 à 7 mois. C’est l’étage de la forêt où poussent des FORETS DE HETRES et en
montant en altitude, beaucoup de RESINEUX (sapins, pins).
Les alpages (de 2.000 à 3.000 m)
La température moyenne varie de 2 à 5°. Il n’y a pas beaucoup d’arbres car il fait
trop froid, il y a DES GRANDES ETENDUES D’HERBE (les alpages) et la végétation est rare.
La haute montagne (au-delà de 3.000 m)
La température moyenne se situe autour de 0°. Il y a des ROCHES, des NEIGES
ETERNELLES, des GLACIERS et très peu de végétation. Il fait encore plus froid et humide
sur le versant nord qui se trouve longtemps à l’ombre.