POINT D'INTERET

SITUATION

CARTOGRAPHIE

TEXTE DE LA SORTIE

De l’ étang (1600m) prendre le sentier remontant le ruisseau de Soulcem sur la gauche.Parvenu au bas de la cascade de Labinas (1780m) traverser le ruisseau par la passerelle, remonter la cascade et continuer de longer le ruisseau.A la croisée de sentiers avec panneau indicateur (1810m) prendre celui de droite pour monter dans une combe et déboucher sur un replat (2111m).Ensuite le sentier vire à  gauche pour parvenir à  l’ étang de Roumazet (2163m). Arrivé à  l’ étang suivre à  droite pour quitter le sentier continuant sur l’ étang de Soucarrane. Après la zone herbeuse l’on s’engage dans un pierrier qu’ il faut remonter pour parvenir au Port de Roumazet (2571m).On remonte la crête sur le flanc gauche par le versant espagnol. Tout en suivant les cairns l’ on parvient au Pic de la Rouge (2902m).Le retour se fait en continuant la crête toujours sur le versant espagnol en descendant par un gispet.Arrivé au port de Bouà«t (2509m) avec sa pierre gravée d’ une croix (croix frontière) l’ on prend par le sentier de gauche et se dirigeant sur l’ étang de Soucarrane (2292m).Au bord du lac le longer par la droite, on passe son déversoir pour retrouver le sentier venant de l’ étang de Roumazet.Prendre le sentier par la droite pour descendre sur le ruisseau de Soulcem. Avant le ruisseau (1850m) prendre le sentier de gauche et longeant le ruisseau pour parvenir au panneau indicateur de la montée.

ACCES AU DEPART

Informations complémentaires

type_sortie

Avis

Il n’y a pas encore d’avis.


Soyez le premier à laisser votre avis sur “Pic de la Rouge (ou Pic de la Soucarrane) (2902 m)”

Pour survivre à l’hiver, certains animaux quittent la montagne pour des cieux plus cléments (migration), d’autres s’endorment bien à l’abri (hibernation), mais un bon nombre d’espèces reste présente et doit s’adapter pour faire face au froid. Les animaux continuent donc de se déplacer pour se nourrir et s’abriter. Pour la plupart, ils se cantonnent à un petit territoire qu’ils arpentent discrètement, attentifs aux risques d’une mauvaise rencontre. Dans la neige fraîche, leurs traces de pas sont facilement visibles. On peut voir quelques empreintes qu’il est difficile de suivre mais parfois de véritables pistes laissent deviner par où l’animal s’en est allé. Cette écriture est plus ou moins facile à déchiffrer. Selon la densité et la température de la neige, l’empreinte sera plus ou moins nette.

La vallée (moins de 1.000 m)
La vie y est facile, la température moyenne est de 15°. La période de végétation est
de 8 à 9 mois. C’est l’étage des CULTURES, des CHAMPS DE FLEURS, des FEUILLUS
comme le chêne, le châtaigner etc.
La forêt (de 1.000 à 2.000 m)
La température moyenne est plus basse : de 5 à 15°. La période de végétation dure
de 6 à 7 mois. C’est l’étage de la forêt où poussent des FORETS DE HETRES et en
montant en altitude, beaucoup de RESINEUX (sapins, pins).
Les alpages (de 2.000 à 3.000 m)
La température moyenne varie de 2 à 5°. Il n’y a pas beaucoup d’arbres car il fait
trop froid, il y a DES GRANDES ETENDUES D’HERBE (les alpages) et la végétation est rare.
La haute montagne (au-delà de 3.000 m)
La température moyenne se situe autour de 0°. Il y a des ROCHES, des NEIGES
ETERNELLES, des GLACIERS et très peu de végétation. Il fait encore plus froid et humide
sur le versant nord qui se trouve longtemps à l’ombre.