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CARTOGRAPHIE

TEXTE DE LA SORTIE

0 h 00 –  De l’hospice du Rioumajou avec les réserves exposées plus bas () (à  1.560 m, vaste parking), on démarre direction Sud Ouest pour traverser rapidement le pont sur l’Estat et s’engager plein Sud sur un large chemin (GR 105).0 h 10 – Ne pas prendre à  droite l’itinéraire qui monte au Port d’Ourdissétou mais partir    à  gauche Est-Sud-Est.  Peu après, on traverse le torrent de la Plagne sur une passerelle en bois avec une joile cascade à  l’eau fraiche (meme en été), à  1.607 m.Mais la balade bien bucolique est bientot finie car la voie qui monte à  présent se redresse sur la rive gauche (droite en montant) du ruisseau de Cauarère au travers de longues montées empierrées (bien qu’ombragées car boisées). Le chemin est balisé en jaune en « tiret », « point » ou « Y ».0 h 40 – A l’altitude de 1.950 m, on laisse à  gauche le ruisseau de Millarioux et la pente d’éboulis pour  continuer à  l’Ouest  sur le sentier herbeux toujours balisé jaune qui s’élève à  présent en zig-zags.1 h 10 – Panneau  en bois à   2.184 m indiquant Port de Plan.  On laisse ici le sentier principal (jaune) à  droite  (Sud) pour  remonter en suivant à  présent les points bleus vers l’Est-Sud-Est. On passe d’abord par une zone de paturages, trois pierriers en traversée jusqu’au premier Port, celui de Madera que l’on voit de loin,  à  gauche  d’un piton rocheux imposant, la Pene de Millarioux.2 h 00 – Port de la Madera, 2.569 m environ (selon les cartes) au pied du Pennede Millarioux. La vue se dégage vers les deux géants voisins  Bachimala et des Posets. Plus basiquement, les objectifs de la journée sont aussi bien visibles Les Pics de Cauarère et de Batoua.On poursuit toutes crètes (rondelettes) pour arriver à  un point d’altitude coté 2.581 m et on redescend plein Nord sur une zone quasi lunaire, au Port de Cauarère ou l’on trouve des comme on peut le voir au port de sauvegarde (vers Luchon) des « coeurs de pierre ».2 h 10 – Port de Cauarère 2.526m.  Le cheminement remonte au Nord une sente bien dessinée en dévers, puis rejoint la base de la crête du Cauarère en se redressant fortement.  En restant plus ou moins proche du fil ou en évitant la crête par la gauche,  on s’élève prudemment sur un terrain parfois délité  (passage en surfant sur une barre rocheuse , ou plutot entre les lignes de faiblesses un peu plus délicat vers 2.830 m).3 h – Premier sommet du jour Pic de Cauarère, 2.901 m. Tout en montant, on apercoit la ligne de crète qui sépare ce sommet du (des) Batoua. C’est ici que commence les crètes aériennes.  On se dirige alors en légère descente vers l’Est en direction d’un col coté 2.853 m.  La voie se redresse à  nouveau (cairns plus nombreux) pour atteindre la crête et basculer versant sud,  à  2.939 m.3 h 20 – La voie  descend légèrement et se rapproche de la paroi.On remonte à  la crète par la gauche par un système de petites vires cairnées.  Une fois sur la  crête un peu aérienne, on suit jusqu’au bout les cairns qui  conduisent au pied d’un petit ressaut à  2.970 m.  La crête s’élargit un peu vers la  fin du parcours.3 h 35 – Enfin le premier des 3 Pics de Batoua – ou  Culfreda –  3.034 m.Panorama immense.De ce sommet, on peut poursuivre sur les 2 autres pics, il suffit de suivre la crête vers le Nord Est. On rencontre d’abord une  brèche.  En posant les mains, on suit plus ou moins le fil de la crête pour parvenir au deuxième sommet3 h 45 – CULFREDA CENTRAL  3.028 m.  Le troisième sommet est proche, on l’atteint sans pratiquement perdre d’altitude4 h – CULFREDA Nord Est à  3.032 m.Le panorama  est plus étendu  que celui des autres  sommets.Retour / DescenteMeme itinéraire. A noter que du col de Madera, une variante descent « tout droit » jusqu’au ruisseau 800 m plus bas. C’est l’itinéraire de montée / descente classique mais non emprunté ni a l’aller, ni au retour compte tenu de la qualité de l’autre chemin (bleu et jaune) plus ombragé.

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Pour survivre à l’hiver, certains animaux quittent la montagne pour des cieux plus cléments (migration), d’autres s’endorment bien à l’abri (hibernation), mais un bon nombre d’espèces reste présente et doit s’adapter pour faire face au froid. Les animaux continuent donc de se déplacer pour se nourrir et s’abriter. Pour la plupart, ils se cantonnent à un petit territoire qu’ils arpentent discrètement, attentifs aux risques d’une mauvaise rencontre. Dans la neige fraîche, leurs traces de pas sont facilement visibles. On peut voir quelques empreintes qu’il est difficile de suivre mais parfois de véritables pistes laissent deviner par où l’animal s’en est allé. Cette écriture est plus ou moins facile à déchiffrer. Selon la densité et la température de la neige, l’empreinte sera plus ou moins nette.

La vallée (moins de 1.000 m)
La vie y est facile, la température moyenne est de 15°. La période de végétation est
de 8 à 9 mois. C’est l’étage des CULTURES, des CHAMPS DE FLEURS, des FEUILLUS
comme le chêne, le châtaigner etc.
La forêt (de 1.000 à 2.000 m)
La température moyenne est plus basse : de 5 à 15°. La période de végétation dure
de 6 à 7 mois. C’est l’étage de la forêt où poussent des FORETS DE HETRES et en
montant en altitude, beaucoup de RESINEUX (sapins, pins).
Les alpages (de 2.000 à 3.000 m)
La température moyenne varie de 2 à 5°. Il n’y a pas beaucoup d’arbres car il fait
trop froid, il y a DES GRANDES ETENDUES D’HERBE (les alpages) et la végétation est rare.
La haute montagne (au-delà de 3.000 m)
La température moyenne se situe autour de 0°. Il y a des ROCHES, des NEIGES
ETERNELLES, des GLACIERS et très peu de végétation. Il fait encore plus froid et humide
sur le versant nord qui se trouve longtemps à l’ombre.