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CARTOGRAPHIE

TEXTE DE LA SORTIE

Depuis Luchon, prendre direction Superbagneres / Hospice de France. Le stop se trouve juste quelques mètres au dessus de l’Arboretum de Joueou5 km avant l’Hospice de France (un panneau en bois indique les sentiers 30 à  34).

ACCES AU DEPART

Du panneau en bois, il faudra suivre le panneau 34. On passe sucessivement par un barrage en contrebas (ne pas y descendre), une passerelle en bois et le goufre de Malaplatte. Ensuite, à  un petit abri de chasseur environ 30 mn après le départ, dans une bifucation (virage a gauche), le sentier est indiqué 31, sinon, 34 tout le long.Bien se répérer toutefois aux indications en jaune sur les arbres.On arrive par la suite à  une traversée de rivière (le pont de bois ayant été emporté par une avalanche), on poursuit alors rive droite du torrent qui disparait alors sous son lit. Un peu plus haut, toujours torrent à  sec, on trouve une passerelle en bois qui nous mène facilement sur le bas du plateau de la Glère.De la, on poursuit en lacets pour rejoindre après quelques virages le chemin 30 dit de l’Impératrice (qui part de l’Hospice de France)  ; autre départ possible pour cette sortie.On continue de monter jusqu’a une bifurcation indiquée 33 que l’on prend sur la gauche en montant et on se trouve sur une sente parfois peu marquée (attention aux pieds  !!), parfois avec des grands murs de soutènement jusqu’au pied de la moraine avant d’atteindre finalement le Port de la Glère.Du col (port de la Glere), on suit le sentier à  présent balisé en bleu direction voie normale du Sacroux. On pase au dessus du beau lac espagnol des Gourgoutes. On continue jusqu’apres la moraine (gros pierrier) et au lieu de monter sur « les dalles » (chemin du retour) on part a flanc sur la gauche pour rejoindre un couloir d’aretes montantes / couloir de pierre jusqu’au pied de la tusse de Pinata (2450 m).De là , la pente se durcit ensuite considérablement. On commence la montée de la tusse de la Pinata pour partir ensuite sur la gauche en suivant les quelques cairns sous la ligne de crête et à  flanc de pente très raide (tantot à  droite / tantot a gauche). On passe ainsi sous la tusse et un autre sommet sans nom, et on finit par accéder sur la ligne de crête par une brèche. Suivant le fils de la crête rocheuse et aérienne ou il faut poser parfois les mains on parvient à  une autre brèche avec un vieux pluviomètre. Une dernière pente raide mais beaucoup moins aérienne nous permet atteindre le Pic de Sacroux (2675 m).Pour le retour on descend au niveau du pluviomètre, cette fois on descend par la voie normale (moins exposée tout de même que la traversée en cretes), mais qui passe tout de meme , en suivant cairns et points bleus au travers d’un dédale de dalles jusqu’a la moraine au port de la Glere. De la, le retour reprend la sente initiale jusqu’au bout.Retour / Descente

Description

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Informations complémentaires

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Pour survivre à l’hiver, certains animaux quittent la montagne pour des cieux plus cléments (migration), d’autres s’endorment bien à l’abri (hibernation), mais un bon nombre d’espèces reste présente et doit s’adapter pour faire face au froid. Les animaux continuent donc de se déplacer pour se nourrir et s’abriter. Pour la plupart, ils se cantonnent à un petit territoire qu’ils arpentent discrètement, attentifs aux risques d’une mauvaise rencontre. Dans la neige fraîche, leurs traces de pas sont facilement visibles. On peut voir quelques empreintes qu’il est difficile de suivre mais parfois de véritables pistes laissent deviner par où l’animal s’en est allé. Cette écriture est plus ou moins facile à déchiffrer. Selon la densité et la température de la neige, l’empreinte sera plus ou moins nette.

La vallée (moins de 1.000 m)
La vie y est facile, la température moyenne est de 15°. La période de végétation est
de 8 à 9 mois. C’est l’étage des CULTURES, des CHAMPS DE FLEURS, des FEUILLUS
comme le chêne, le châtaigner etc.
La forêt (de 1.000 à 2.000 m)
La température moyenne est plus basse : de 5 à 15°. La période de végétation dure
de 6 à 7 mois. C’est l’étage de la forêt où poussent des FORETS DE HETRES et en
montant en altitude, beaucoup de RESINEUX (sapins, pins).
Les alpages (de 2.000 à 3.000 m)
La température moyenne varie de 2 à 5°. Il n’y a pas beaucoup d’arbres car il fait
trop froid, il y a DES GRANDES ETENDUES D’HERBE (les alpages) et la végétation est rare.
La haute montagne (au-delà de 3.000 m)
La température moyenne se situe autour de 0°. Il y a des ROCHES, des NEIGES
ETERNELLES, des GLACIERS et très peu de végétation. Il fait encore plus froid et humide
sur le versant nord qui se trouve longtemps à l’ombre.