POINT D'INTERET

SITUATION

CARTOGRAPHIE

TEXTE DE LA SORTIE

ACCES AU DEPART

Premier succès en 1911, La Haute Route ski de randonnée est probablement la randonnée à  ski la plus célèbre et très convoité dans le monde.Utilisation des cabanes de haute montagne pour permettre aux skieurs de rester fort et couvrir des distances importantes, il serpente à  travers les plus hauts sommets, les plus spectaculairedes Alpes du Mont Blanc au Cervin. Elle exige beau temps, les conditions d’enneigement favorables et des efforts considérables pour compléter cette traversée. De ce fait, environ la moitié des skieurs qui commencent la haute route ne peuvent pas aller à  son terme.Il existe de nombreuses variantes du HLR (Route de haut niveau) qui parcours le chemin entre Chamonix et Zermatt.Il est également possible d’ajouter des ascensions d’un certain nombre de pics pour toutes les routes. La Haute Route d’hiver dévie de l’itinéraire d’été pour éviter le relief qui est dangereux ou impraticables lordes chutes impoortantes / amas de neige.Beaucoup de gens vont faire du ski de la Haute Route dans la direction opposée, par des variantes qui sélectionnent une meilleure montée et descente.Le 2 mai 2008 Lionel Bonnel et Stéphane Brosse , membres de la Fédération des clubs alpins francaise de montagne ont établi le record de la distance en 21 heures et 11 minutes.Texte Jour 1 : Montée au refuge Albert 1er (2702 m) par la Télécabine de Charamillon Col de Balme, puis par un sentier en balcon surplombant le glacier du Tour.Horaire 2 heures.Jour 2 : remontée du glacier du Tour vers le Col du Tour (3282 m), frontière avec la Suisse, pour traverser le Glacier de Trient face aux Aiguilles Dorées (3519m). L’immence glacier est laissé pour rejoindre le refuge d’Orny. S’ensuit un chemin en balcon qui amène au sommet du télésiège de la Breya, utilisé pour rejoindre le village pittoresque de Champex.Transfert en bus ou en taxi à  Mauvoisin, puis jusquâ€™à  la Cabane de Chanrion (2462m). En Suisse, malgré leur nom peu gratifiant, les cabanes du Club Alpin Suisse sont parmis les plus confortables de tout l’arc alpin.Horaire 6 heures.Jour 3 : Entrée dans le Valais par l’immense glacier d’Otemma, qu’il faut suivre (long de 7 km) jusquâ€™à  la cabane des Vignettes (3160 m), derrière nous s’élève le Grand Combin dominant de ses 4314 mètres.Horaire 4 à  5 heures.Jour 4 : contours de l’Evêque par le col du même nom (3392 m), réalisant ainsi une randonnée des plus intéressante face au Pigne d’Arolla (3796 m). Puis après une descente sur le Haut Glacier d’Arolla, après une dernière montée ort raide (et exposé aux chutes de pierres sur le haut de la derniere traversée, la Cabane Bertol (3311 m) perchée sur un piton rocheux. Face à  nous l’imposante Dent Blanche (4356 m) s’élève fièrement au dessus du glacier de Ferpècle.Horaire 6 à  7 heures.Jour 5 : Entrée dans la partie germanophone de la Suisse.Depuis le sommet de Tête Blanche (point culminant à  3724m), le Cervin qui s’appelle ici le Matterhorn (4477 m). Ce sommet impressionnant fait face lors de la descente sur le Glacier de Tiefmatten. Accès par une courte montée à  Schà¶nbielhà¼tte (2964 m) ou nous passons notre dernière nuit en haute montagneHoraire 5 à  6 heures.Jour 6 : Dernière journée de périple, descente sur Zermatt. Un arrêt au village typique de Zmutt pour l’architecture traditionnelle valaisanne. Puis nous terminus du raid par une descente dans les alpages pour rejoindre Zermatt (ville piétonne).Horaire 3 heures.Après un casse croute, il faut penser au retour au village du Tour (départ).Accès au départChamonix et village du Tour / téléphérique.[googlemap src= »https://maps.google.com/maps?q=le+tour,+Chamonix-Mont-Blanc,+France&hl=fr&ie=UTF8&ll=46.002805,6.94602&spn=0.017498,0.038581&sll=46.004082,6.923479&sspn=0.017498,0.038581&hnear=Le+Tour,+Chamonix-Mont-Blanc,+Haute-Savoie,+Rh%C3%B4ne-Alpes,+France&t=m&z=15″ ]

Informations complémentaires

type_sortie

Avis

Il n’y a pas encore d’avis.


Soyez le premier à laisser votre avis sur “Haute Route Chamonix – Zermatt (Point d’ Tête blanche 3764 m)”

Pour survivre à l’hiver, certains animaux quittent la montagne pour des cieux plus cléments (migration), d’autres s’endorment bien à l’abri (hibernation), mais un bon nombre d’espèces reste présente et doit s’adapter pour faire face au froid. Les animaux continuent donc de se déplacer pour se nourrir et s’abriter. Pour la plupart, ils se cantonnent à un petit territoire qu’ils arpentent discrètement, attentifs aux risques d’une mauvaise rencontre. Dans la neige fraîche, leurs traces de pas sont facilement visibles. On peut voir quelques empreintes qu’il est difficile de suivre mais parfois de véritables pistes laissent deviner par où l’animal s’en est allé. Cette écriture est plus ou moins facile à déchiffrer. Selon la densité et la température de la neige, l’empreinte sera plus ou moins nette.

La vallée (moins de 1.000 m)
La vie y est facile, la température moyenne est de 15°. La période de végétation est
de 8 à 9 mois. C’est l’étage des CULTURES, des CHAMPS DE FLEURS, des FEUILLUS
comme le chêne, le châtaigner etc.
La forêt (de 1.000 à 2.000 m)
La température moyenne est plus basse : de 5 à 15°. La période de végétation dure
de 6 à 7 mois. C’est l’étage de la forêt où poussent des FORETS DE HETRES et en
montant en altitude, beaucoup de RESINEUX (sapins, pins).
Les alpages (de 2.000 à 3.000 m)
La température moyenne varie de 2 à 5°. Il n’y a pas beaucoup d’arbres car il fait
trop froid, il y a DES GRANDES ETENDUES D’HERBE (les alpages) et la végétation est rare.
La haute montagne (au-delà de 3.000 m)
La température moyenne se situe autour de 0°. Il y a des ROCHES, des NEIGES
ETERNELLES, des GLACIERS et très peu de végétation. Il fait encore plus froid et humide
sur le versant nord qui se trouve longtemps à l’ombre.