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CARTOGRAPHIE

TEXTE DE LA SORTIE

0 h 00 Au départ du parking de Frédancon, à  1.381 m. Il faut traverser le pont et prendre la piste interdite à  la circulation (barrière) vers le Sud Est.Fin de la piste 15 minutes environ après au pont de Péguère (1.495 m) important  – TOURNER A GAUCHE AVANT LE PONT –  NE FAUT PAS LE FRANCHIR.  On s’engage sur le sentier  rive droite du ruisseau de la Piarre (dont on verra un peu plus loin sa cascade), sur  50 mètres environ.

0 h 25 Passage à  gué sur de gros blocs pour  rejoindre la rive gauche  dans la forêt.  Une fois sur la rive gauche, le chemin, raide dès le départ, monte Sud Est dans le bois et  rejoint bientot des pelouses (et c’est la que démarre réellement les marquages avec des cairns(qui seront présents tout le long de la montée)). Monter alors Nord Nord Est jusqu’à  un sentier ruisselant et un peu glissant, très au-dessus du torrent.

1h 00 on arrive au pied de la cascade de la Piarre (1.790 m) et on  se dirige  alors au Sud Est jusqu’à  un premier promontoire rocheux. La voie a cet endroit prend une ampleur un peu aérienne, raide et rocheuse (bien que les mains ne soient pas utilisées pour la parcourir), surplombe une gorge et s’adoucit ensuite pour atteindre un replat (1.920 m, 1 h 15 mn) au pied d’un escarpement qu’on va emprunter sur la gauche.

     On apercoit en face de nombreux arbres emportés par une avalanche.

1 h 25 Le sentier traverse le torrent (là  encore, bien repérer le passage à  gué) et s’incurve vers l’Est. Il redevient raide et atteint en zig-zags, la cabane située à  2.100m.

2 h Cabane à  toit plat…Suivre les cairns en direction du Lustou à  l’Est.

2 h 30 Après une rude montée sur une portion mi-herbeuse, mi-rocheuse, on atteint la base du pierrier juste sous le sommet du Lustou et la crête de Guerreys à  droite. Pendant la montée, superbe vue sur le Niscoude et le Batoua.

Depuis le pierrier, vers 2.450 m, on suit les cairns à  l’Est.

(Rq pour la passage au col du Lustou, bifurquer au Nord (bon sentier) et bien repérer le col au fond).

3 h 00 on atteint la  base de l’arête  qui devient  raide  mais encore peu exposée. On rejoint ensuite un ressaut vers 2.900 m, (large ancien abri en ruine), avant le passage le plus délicat.  On pose les mains sur l’arête, qui, plus aérienne, s’élève et  se retrécit nettement.  Le parcours n’est pas difficile, mais vertigineux et se déroule en grande partie sur le fil de l’arête (Escalade niveau I à  I+).

3 h 40 Sommet du Lustou. Retour / DescenteMeme itinéraire. Possibilité de « boucler » à  l’aller comme au retour en passant par le Col de Lustou (mais plus long et pas forcément moins difficile). Une bonne solution si les névés sont prèsent au pied de la face nord et peuvent entraver le chemin dans les éboulis sous le sommet.

ACCES AU DEPART

Description

Superbe et longue montée (sans vraiement de pauses) ou l’on se trouve idéalement dandes paysages à  la fois peu fréquentés et des vues larges en vallée d’Aure.  Cette course se trouve au nord du massif Schrader – Bachimala et en arrière plan les 3 pointes du Batoua.

– Sur la 1 °partie de l’itinéraire, assez raide, on évolue dans un cadre de bois sapins mais aussi de pierriers (ru sec).- Ensuite, l’itinéraire, toujours aussi raide, devient plus rocheux,  et la crête finale se présente aérienne, et qui peut être impressionnante pour les personnes sensibles au vertige.

     

Informations complémentaires

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Pour survivre à l’hiver, certains animaux quittent la montagne pour des cieux plus cléments (migration), d’autres s’endorment bien à l’abri (hibernation), mais un bon nombre d’espèces reste présente et doit s’adapter pour faire face au froid. Les animaux continuent donc de se déplacer pour se nourrir et s’abriter. Pour la plupart, ils se cantonnent à un petit territoire qu’ils arpentent discrètement, attentifs aux risques d’une mauvaise rencontre. Dans la neige fraîche, leurs traces de pas sont facilement visibles. On peut voir quelques empreintes qu’il est difficile de suivre mais parfois de véritables pistes laissent deviner par où l’animal s’en est allé. Cette écriture est plus ou moins facile à déchiffrer. Selon la densité et la température de la neige, l’empreinte sera plus ou moins nette.

La vallée (moins de 1.000 m)
La vie y est facile, la température moyenne est de 15°. La période de végétation est
de 8 à 9 mois. C’est l’étage des CULTURES, des CHAMPS DE FLEURS, des FEUILLUS
comme le chêne, le châtaigner etc.
La forêt (de 1.000 à 2.000 m)
La température moyenne est plus basse : de 5 à 15°. La période de végétation dure
de 6 à 7 mois. C’est l’étage de la forêt où poussent des FORETS DE HETRES et en
montant en altitude, beaucoup de RESINEUX (sapins, pins).
Les alpages (de 2.000 à 3.000 m)
La température moyenne varie de 2 à 5°. Il n’y a pas beaucoup d’arbres car il fait
trop froid, il y a DES GRANDES ETENDUES D’HERBE (les alpages) et la végétation est rare.
La haute montagne (au-delà de 3.000 m)
La température moyenne se situe autour de 0°. Il y a des ROCHES, des NEIGES
ETERNELLES, des GLACIERS et très peu de végétation. Il fait encore plus froid et humide
sur le versant nord qui se trouve longtemps à l’ombre.