- Date : 06/10/2018
POINT D'INTERET
SITUATION
Des vues inoubliables sur le Couserans en Ariège.De nombreuses cabanes (besset, dite du bomboà¯, du clot du lac, du col de part).Cap de la Raspe beaux gendarmes et une vue particulièrement à 360 ° degrés sur les sommets du Haut Couserans.Tuc du Coucou joli belvédère, particulièrement vers le Valier et sur le redoutable versant est de la mail de Bulard.
CARTOGRAPHIE
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Ce col était très fréquenté avant l’avènement de l’automobile, permettant aux éleveurs, aux colporteurs, aux contrebandiers et lors de conflits de passer d’un versant à l’autre des Pyrénées centrales. En vertu des accords de lies et passeries entre les communautés montagnardedes deux versants, étaient exercées la jouissance indivise des paturages d’altitude et une liberté de commercer. Le val d’Aran, sur le bassin versant de la Garonne qui y prend sa source, barré vers l’Espagne par la Maladeta notamment en hiver (le tunnel de Vielha ne sera ouvert qu’en 1948), était enclin naturellement à se fournir avec la France pour de très nombreuses marchandises. Le partage de la langue occitane facilitait encore ces échanges. Les importations d’Espagne étaient elles réduites au sel, à la laine de mouton, etc.
L’extraction minière en vallée du Biros a commencé en 1853 dans la mine de Bentaillou à Sentein. Plus haute d’Europe et à proximité immédiate du port d’Orle, la mine de la Mail de Bulard (2 350 m) a été ouverte en 1901, si dangereuse sur des pentes abruptes qu’elle fut qualifiée de « mangeuse d’hommes ». Ces deux mines étaient aussi reliées sur le versant espagnol aux mines de Montoulieu et du Fourcail. On y extrayait la blende (zinc) et la galène (plomb et argent) dandes conditions extrêmes, les minerais étant descendus vers la vallée d’Orle pour arriver à Lascoux (hameau de Bonac-Irazein) pour partie par des transbordeurs aériens et pour partie par voies ferroviaires.
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Description
automne 2018
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Pour survivre à l’hiver, certains animaux quittent la montagne pour des cieux plus cléments (migration), d’autres s’endorment bien à l’abri (hibernation), mais un bon nombre d’espèces reste présente et doit s’adapter pour faire face au froid. Les animaux continuent donc de se déplacer pour se nourrir et s’abriter. Pour la plupart, ils se cantonnent à un petit territoire qu’ils arpentent discrètement, attentifs aux risques d’une mauvaise rencontre. Dans la neige fraîche, leurs traces de pas sont facilement visibles. On peut voir quelques empreintes qu’il est difficile de suivre mais parfois de véritables pistes laissent deviner par où l’animal s’en est allé. Cette écriture est plus ou moins facile à déchiffrer. Selon la densité et la température de la neige, l’empreinte sera plus ou moins nette.
La vallée (moins de 1.000 m)
La vie y est facile, la température moyenne est de 15°. La période de végétation est
de 8 à 9 mois. C’est l’étage des CULTURES, des CHAMPS DE FLEURS, des FEUILLUS
comme le chêne, le châtaigner etc.
La forêt (de 1.000 à 2.000 m)
La température moyenne est plus basse : de 5 à 15°. La période de végétation dure
de 6 à 7 mois. C’est l’étage de la forêt où poussent des FORETS DE HETRES et en
montant en altitude, beaucoup de RESINEUX (sapins, pins).
Les alpages (de 2.000 à 3.000 m)
La température moyenne varie de 2 à 5°. Il n’y a pas beaucoup d’arbres car il fait
trop froid, il y a DES GRANDES ETENDUES D’HERBE (les alpages) et la végétation est rare.
La haute montagne (au-delà de 3.000 m)
La température moyenne se situe autour de 0°. Il y a des ROCHES, des NEIGES
ETERNELLES, des GLACIERS et très peu de végétation. Il fait encore plus froid et humide
sur le versant nord qui se trouve longtemps à l’ombre.
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