POINT D'INTERET

 

 

SITUATION

Secteur en dalle relativement abrité du vent et avec une très belle vue sur les iles

Merci à Benoit pour nous avoir accompagné sur cette course au dessus de l’eau !

METEO

CARTOGRAPHIE

TEXTE DE LA SORTIE

Approche :

Du parking de la Calanque de Sormiou, suivre le tracé noir en direction du Bec : d’abord quelques mètres droits dans la pente puis à l’horizontale vers la gauche. Bien dépasser la dalle blanche du Spigaou et poursuivre jusqu’à croiser un éboulis. Suivre la sente qui remonte cet éboulis et, sur la fin, après quelques mètres d’escalade très facile dans une espèce de dièdre, tirer légèrement vers la droite jusqu’à un trou donnant côté SW et une corde de fixe. S’engager dans le trou (étroit, de préférence les pieds en avant), Se faufiler dans une chatière bien serrée (main courante) pour redescendre ensuite vers la droite évidente par une succession de cordes fixes qui tirent franchement à droite, puis droit dans la pente puis de nouveau à droite. Après les cordes, le sol devient orange, suivre la sente jusqu’au pied d’une belle lame inclinée caractéristique où le relais (2 points) de départ est visible. Le dièdre est monumental et évident.
Le Dièdre Guem est la ligne la plus à gauche, proche du dièdre.

 

Voie :

L1 4a 20 m Remonter le dièdre jusqu’au relais R1 dans une encoche
L2 4a 15 m Continuer droit dans la dalle très prisu à droite du dièdre jusqu’au relais R2
L3 4a 20 m Continuer tout droit dans cette dalle jusqu’au relais R3
L4 4b 20 m Monter quelques mètres, puis aller à gauche pour remonter un bloc sous le pin avant de suivre une rampe caractéristique à gauche jusqu’au sommet où on trouve le relais R4 quelques mètres plus loin

Descente  :

3 possibilités :
– par le même chemin dans l’autre sens,
– les voies sortent sur un sentier de crête :
– vers le S, il ramène après un peu de désescalade à l’entrée de l’étroiture rencontrée à l’aller,
– vers le N, il conduit à l’aérien sentier de retour de Pyromaniaque (au 2e col !! le 1er col rencontré est un cul-de-sac)

ACCES AU DEPART

Description

Photothèque de la sortie : 

Octobre 2024 :

Informations complémentaires

type_sortie

Avis

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Pour survivre à l’hiver, certains animaux quittent la montagne pour des cieux plus cléments (migration), d’autres s’endorment bien à l’abri (hibernation), mais un bon nombre d’espèces reste présente et doit s’adapter pour faire face au froid. Les animaux continuent donc de se déplacer pour se nourrir et s’abriter. Pour la plupart, ils se cantonnent à un petit territoire qu’ils arpentent discrètement, attentifs aux risques d’une mauvaise rencontre. Dans la neige fraîche, leurs traces de pas sont facilement visibles. On peut voir quelques empreintes qu’il est difficile de suivre mais parfois de véritables pistes laissent deviner par où l’animal s’en est allé. Cette écriture est plus ou moins facile à déchiffrer. Selon la densité et la température de la neige, l’empreinte sera plus ou moins nette.

La vallée (moins de 1.000 m)
La vie y est facile, la température moyenne est de 15°. La période de végétation est
de 8 à 9 mois. C’est l’étage des CULTURES, des CHAMPS DE FLEURS, des FEUILLUS
comme le chêne, le châtaigner etc.
La forêt (de 1.000 à 2.000 m)
La température moyenne est plus basse : de 5 à 15°. La période de végétation dure
de 6 à 7 mois. C’est l’étage de la forêt où poussent des FORETS DE HETRES et en
montant en altitude, beaucoup de RESINEUX (sapins, pins).
Les alpages (de 2.000 à 3.000 m)
La température moyenne varie de 2 à 5°. Il n’y a pas beaucoup d’arbres car il fait
trop froid, il y a DES GRANDES ETENDUES D’HERBE (les alpages) et la végétation est rare.
La haute montagne (au-delà de 3.000 m)
La température moyenne se situe autour de 0°. Il y a des ROCHES, des NEIGES
ETERNELLES, des GLACIERS et très peu de végétation. Il fait encore plus froid et humide
sur le versant nord qui se trouve longtemps à l’ombre.