POINT D'INTERET

SITUATION

Le Tuc de Ratera est une grand classique du secteur. Parcourir le cirque de Colomers et ses innombrables pièces d’eau est un véritable bonheur. L’Estanh Obago et l’Estanh Long sont sans doute les plus beaux lacs de ce petit coin de paradis. En saison estivale, à  savoir (pour ce qui veulent raccourcir la sortie) que l’ouverture de la piste des Banhs de Tredos au « départ » vers le refuge de Colomers (environ 3 à  4 km) est réservée aux taxis du 1 juillet au 30 septembre environ.

METEO

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CARTOGRAPHIE

TEXTE DE LA SORTIE

Attention, le relive commence, à  l’aller, depuis le refuge de Colomers pour préserver l’autonomie de la batterie du traceur GPS … https://www.relive.cc/view/r10007977972

ACCES AU DEPART

Massif des Encantats.Niché au Sud-Est du val d’Aran, à  la lisière du parc national Aiguà«stortes i Estany de San Maurici, le cirque lacustre d’origine glaciaire de Colomèrs a été baptisé ainsi en hommage à  l’ingénieur tarbais Charles Colomèrs, qui l’a exploré en 1838. On y dénombre une demi-douzaine de pics d’une altitude supérieure à  2.700 m, dont le Gran Tuc de Colomèrs (2.934 m), point culminant du massif Maurice Gourdon et son guide Barthélemy Courrège en firent l’ascension en 1880.Composée essentiellement de granit, la contrée renferme une kyrielle de lacs ou estanhs de toutes formes, tailles et teintes, qu’encadrent des pinèdes, des pelouses verdoyantes ou des tourbières.Rhododendrons, gentianes, renoncules et lys en font presque un jardin d’agrément, et à  l’étage supérieur il n’est pas rare de voir détaler une harde d’isards, ni passer un couple de vautours fauves. Les grands pics sont défendus par un relief tourmenté du à  l’érosion glaciaire et aux éboulements qui donne au visiteur la rare occasion de pérégriner dans une nature restée aussi sauvage (barrages et refuges exceptés) qu’à  la veille de son exploitation forestière et hydro-électrique au début du XXe siècle.

Description

Depuis Montréjau (31) il faut prendre la N125 en direction de Luchon. Arrivé à  un rond point prendre la direction de Saint-Béat et Fos, c’est à  dire faire route vers l’Espagne (on reste sur la N125).Traverser successivement Saint-Béat, Arlos, Fos, pour arriver à  Pont du Roi et passer la frontière. La route qui s’appelle à  présent N230 se dirige vers Vielha.On traversera Les puis Bossà²st. Attention aux controles de police fréquents dans ce secteur.A l’entrée de Vielha prendre à  gauche (pour les connaisseurs). Sinon attendre le rond point au centre-ville et prendre à  gauche la C142 vers Salard๠et la station de ski Baqueirat/Beret.============================================Randonnée depuis BANYOS DE TREDOS (Espagne – Catalogne)============================================

A Salardu emprunter à  droite la petite route qui remonte la vallée d’Aiguamox sur 10 km et mène aux Banhs de Tredos. Vaste parking face à  l’hotel. Départ à  1.725 m. ======================================Randonnée depuis Sant Maurici (Espagne – Catalogne) non réalisé======================================

La route ne va pas cesser de monter jusqu’à  atteindre le port de la Bonaigua 2070 m. Il s’agit d’une longue montée correctement asphaltée. Après le col, c’est une très longue descente qui vous attend. D’abord sinueuse, elle devient ensuite très rectiligne. La route change encore de nom au niveau du col C147. Traverser Esterri d’Aneu en direction de Sort. Roulez environ 5km avant de prendre la montée à  droite vers Espot et le parc nacional d’Aiguestortes. Traversez Espot puis garez vous au parking du parc 3 km plus haut.

* Attention à  cette montée finale assez pentue et moyennement goudronnée (lors de notre passage en 1999) couverte de gravillons et de trous. Photothèque En 2019

En 2006 & 2007

Additional information

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Be the first to review “Pic de Ratera (2863 m)”

Pour survivre à l’hiver, certains animaux quittent la montagne pour des cieux plus cléments (migration), d’autres s’endorment bien à l’abri (hibernation), mais un bon nombre d’espèces reste présente et doit s’adapter pour faire face au froid. Les animaux continuent donc de se déplacer pour se nourrir et s’abriter. Pour la plupart, ils se cantonnent à un petit territoire qu’ils arpentent discrètement, attentifs aux risques d’une mauvaise rencontre. Dans la neige fraîche, leurs traces de pas sont facilement visibles. On peut voir quelques empreintes qu’il est difficile de suivre mais parfois de véritables pistes laissent deviner par où l’animal s’en est allé. Cette écriture est plus ou moins facile à déchiffrer. Selon la densité et la température de la neige, l’empreinte sera plus ou moins nette.

La vallée (moins de 1.000 m)
La vie y est facile, la température moyenne est de 15°. La période de végétation est
de 8 à 9 mois. C’est l’étage des CULTURES, des CHAMPS DE FLEURS, des FEUILLUS
comme le chêne, le châtaigner etc.
La forêt (de 1.000 à 2.000 m)
La température moyenne est plus basse : de 5 à 15°. La période de végétation dure
de 6 à 7 mois. C’est l’étage de la forêt où poussent des FORETS DE HETRES et en
montant en altitude, beaucoup de RESINEUX (sapins, pins).
Les alpages (de 2.000 à 3.000 m)
La température moyenne varie de 2 à 5°. Il n’y a pas beaucoup d’arbres car il fait
trop froid, il y a DES GRANDES ETENDUES D’HERBE (les alpages) et la végétation est rare.
La haute montagne (au-delà de 3.000 m)
La température moyenne se situe autour de 0°. Il y a des ROCHES, des NEIGES
ETERNELLES, des GLACIERS et très peu de végétation. Il fait encore plus froid et humide
sur le versant nord qui se trouve longtemps à l’ombre.