Du Pla de la Lau (933 m) on suit le sentier remontant la vallée. D’abord sur un chemin et a droite du ruisseau de Riberot, en prenant que peu d’altitude sur quelques centaines de metres, puis on quitte le chemin et l’on passe sur l’autre rive par une passerelle (990m).De loin prenant plus rapidement de l’altitude on continu de progresser le long du ruisseau que l’on refranchit (1115m), on passe au lieu Trous Souffleurs (1210m) puis on atteint le pied de la cascade de Néch (1350m).Le sentier passe sur l’autre rive, par une pente raide et courte on accède au haut de la cascade (1600m). Le sentier plus haut, parvenu au pluviometre avec le refuge des Caoussis (1859m), se coupe en deux branches, celle de droite par rejoindre l’étang Rond et l’étang Long et celle de gauche qui nous permettra par une pente courte mais assez raide d’atteindre le refuge (2245m) et les étangs (2237m) des Estagnous dans un cirque ou il y a la possibilite de poser la tente.Du refuge des Estagnous par un sentier (balisage jaune). Contournant les étangs par la gauche, puis passant aux travers de la pierraille sur pente très raide avec quelques passages demandant d’etre vigilant on parvient au Col de Faustin (2654m).Du col sur la gauche, on attaque une montée raide mais sans difficulté pour arriver au Mont Valier (2838m) ou se dresse une croix en marbre scellée en 1987 à l’initiative de Simone Henry et de la société des amis de Saint-Lizier en remplacement d’une plus ancienne (1672) détruite récemment.Revenu au col de Faustin, par un couloir ou il faut poser les mains sur une dizaine de metres, suivit une pente raide mais trés courte (2700m), pour ensuite rejoindre la ligne de crete par une pente douce et herbeuse on parvient ainsi rapidement au Petit Mont Valier (2736m).
avant automne 2013Vallée du Ribérot.
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Pour survivre à l’hiver, certains animaux quittent la montagne pour des cieux plus cléments (migration), d’autres s’endorment bien à l’abri (hibernation), mais un bon nombre d’espèces reste présente et doit s’adapter pour faire face au froid. Les animaux continuent donc de se déplacer pour se nourrir et s’abriter. Pour la plupart, ils se cantonnent à un petit territoire qu’ils arpentent discrètement, attentifs aux risques d’une mauvaise rencontre. Dans la neige fraîche, leurs traces de pas sont facilement visibles. On peut voir quelques empreintes qu’il est difficile de suivre mais parfois de véritables pistes laissent deviner par où l’animal s’en est allé. Cette écriture est plus ou moins facile à déchiffrer. Selon la densité et la température de la neige, l’empreinte sera plus ou moins nette.
La vallée (moins de 1.000 m)
La vie y est facile, la température moyenne est de 15°. La période de végétation est
de 8 à 9 mois. C’est l’étage des CULTURES, des CHAMPS DE FLEURS, des FEUILLUS
comme le chêne, le châtaigner etc.
La forêt (de 1.000 à 2.000 m)
La température moyenne est plus basse : de 5 à 15°. La période de végétation dure
de 6 à 7 mois. C’est l’étage de la forêt où poussent des FORETS DE HETRES et en
montant en altitude, beaucoup de RESINEUX (sapins, pins).
Les alpages (de 2.000 à 3.000 m)
La température moyenne varie de 2 à 5°. Il n’y a pas beaucoup d’arbres car il fait
trop froid, il y a DES GRANDES ETENDUES D’HERBE (les alpages) et la végétation est rare.
La haute montagne (au-delà de 3.000 m)
La température moyenne se situe autour de 0°. Il y a des ROCHES, des NEIGES
ETERNELLES, des GLACIERS et très peu de végétation. Il fait encore plus froid et humide
sur le versant nord qui se trouve longtemps à l’ombre.
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