- Date : 18/07/2024
POINT D'INTERET
Saki matsuri, défilé de chars tradition :
Gion matsuri (祇園祭?), est une fête qui se déroule à Kyōto, au Japon. Cette fête fut instaurée en 869 comme un rite pour lutter contre la peste et autres catastrophes naturelles qui ravageaient la région. Elle est l’un des trois grands festivals du Japon avec Tenjin matsuri et Kanda matsuri. Depuis 2009, les 33 grands chars processus (saki-matsuri) sont reconnus à l’UNESCO comme patrimoine culturel immatériel de l’humanité sous le titre « Yama, Hoko, Yatai, festivals de chars au Japon ».
Les aspects les plus connus du festival de Gion sont divisés en deux parties : le saki matsuri (« festival précoce » du 10 au 17 juillet) et l’ato matsuri (« festival tardif » du 18 au 24 juillet). Tandis que les chars décorent la zone autour du carrefour Karasuma Shijo, une célébration parallèle appelée shinkosai est davantage liée aux divinités résidentes du sanctuaire Yasaka Jinja, dans la partie la plus orientale du quartier de Gion. Le saki matsuri atteint son apogée le 17 juillet avec la procession ou le défilé des chars yamaboko. Cette nuit-là, des milliers d’hommes portent les sanctuaires portables mikoshi sur leurs épaules, amenant les divinités Yasaka Jinja dans le centre-ville de Kyoto pendant une semaine. À l’origine, le festival de Gion comprenait à la fois le saki matsuri et l’ato matsuri
Dans les années 1960, les problèmes de circulation et de foule ont conduit à leur fusion en une seule célébration d’une semaine, du 10 au 17 juillet. Ironiquement, l’énorme foule assistant au festival de Gion et les défis logistiques qui l’accompagnaient ont fait partie des raisons pour lesquelles il a été à nouveau séparé. Le festival de Gion est revenu à son format original en 2014, pour le plus grand plaisir des traditionalistes qui continuent à honorer la signification spirituelle du festival.
Arashiyama : Sagano et sa forêt de bambous et montagne forestière japonaise.
La zone au nord du pont Togetsu (dans l’arrondissement Ukyō) est connue sous le nom de Sagano (嵯峨野?), alors qu’« Arashiyama » fait techniquement référence aux montagnes au sud de la rivière (dans l’arrondissement Nishikyō), mais est généralement utilisé pour nommer toute cette région3.
Le quartier près du pont est bordé de nombreux magasins et restaurants. Quelques-uns restent plus traditionnels : vaisselle de qualité et fabrication de kimono (il est d’ailleurs possible d’observer l’artisan en train de teindre un kimono). Plus au nord se trouve la forêt de bambous de Sagano (嵯峨野 竹林, Sagano chikurin) que l’on peut traverser à pied.
Tramway Randen : Mignon petit tram local
Temple Ryoan-ji : jardin de pierre.
littéralement « Temple du repos du dragon ») est un temple zen situé dans le nord-ouest de Kyōto, construit au xvie siècle, à l’époque de Muromachi. Il fait partie du Patrimoine mondial de l’UNESCO, étant l’un des monuments historiques de l’ancienne Kyoto. Fondé en 1450 par Hosokawa Katsumoto. Détruit lors de la guerre d’Onin par un incendie, il est rebâti par son fils, Hosokawa Masamoto, à partir de 1488. Après un nouvel incendie en 1797, le temple est profondément remanié.
Pour beaucoup, le nom du temple évoque son célèbre jardin de pierres, de style karesansui, qui est considéré comme l’un des chefs-d’œuvre de la culture zen japonaise.
Le jardin a été construit à la fin du XVe siècle ou au début du xvie siècle, entre 1499 et 1507. Sa superficie est d’environ 200 mètres carrés. Il est entouré au sud et à l’ouest d’un muret couvert d’un toit de tuiles, à l’est d’un autre muret, et au nord d’une véranda en bois derrière laquelle se trouve le hōjō (les appartements du supérieur du temple). À l’extérieur se trouvent des érables et des pins rouges qui n’étaient sans doute pas présents à l’origine. La construction sur un terrain plat est une nouveauté à l’époque. Quinze pierres, entourées de mousse, y sont disposées en groupes, d’est en ouest, de cinq, de deux, de trois, de deux puis de trois. Le petit nombre de pierres est aussi une nouveauté par rapport aux autres jardins secs de la même période : celui du Daisen-in par exemple en compte plus de cent, sur une surface deux fois plus petite. Le jardin de pierres du Ryōan-ji appartient à la catégorie des « jardins de néant » (mutei).
La paternité du jardin a été attribuée diversement à Hosokawa Katsumoto ou au peintre Sōami. Ces attributions sont probablement légendaires. Sur l’une des pierres du jardin sont gravés les noms de deux kawaromono (ja) (une sorte d’intouchables japonais) : Kotarō et Hiko(?)jirō. On sait par ailleurs qu’un Kotarō et un Hikojirō ont travaillé au jardin du Shōsenken (au monastère Shōkokuji) dans les années 1490-1491. Aussi ces deux personnes pourraient bien être les véritables auteurs du jardin de pierres du Ryoanji.
Les pierres ont été disposées de telle sorte qu’il ne soit pas possible de voir les quinze pierres à la fois d’où que se trouve l’observateur.
Le jardin se compose simplement d’un lit de fins graviers de kaolin harmonieusement ratissés. Le kaolin ratissé symbolise l’océan, les rochers, eux, figurent les montagnes.
Temple Kinkakuji : célèbre « temple d’or » ou temple impérial du jardin des cerfs.
Le temple a été incendié plusieurs fois pendant la guerre d’Ōnin (1467-1477) et seul le Pavillon d’or a survécu. Le jardin a cependant gardé son aspect de l’époque.
Le 10 juin 1897, l’État japonais promulgue une loi portant sur la protection des sanctuaires et temples anciens14. Le Kinkaku-ji devient la même année l’un des premiers trésors nationaux.
Le 2 juillet 1950, le Pavillon d’or a été entièrement incendié par un moine mentalement déficient ; cet événement est au centre du roman de Yukio Mishima : Le Pavillon d’or. Le bâtiment actuel, reconstruit à l’identique, date de 195512. L’inauthenticité de ses matériaux ne le qualifiant plus comme patrimoine national exceptionnel, il a été retiré de la liste des trésors nationaux. Cependant, le parc du temple, classé depuis 1925, est reclassé en 1956 site historique spécial du Japon et lieu spécial de beauté pittoresque
En 1994, le Pavillon d’or est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO, parmi les monuments historiques de l’ancienne Kyoto.
C’est un bâtiment harmonieux et élégant qui regroupe trois types d’architecture différents :
- le rez-de-chaussée (Hō-sui-in) est de style shinden-zukuri, le style des palais de l’époque Heian ;
- le premier étage (Chō-on-dō) suit le style buke-zukuri des maisons de samouraï
- le second étage (Kukkyō-chō) est de style Karayō, celui des temples zen.
- Au sommet du toit couvert de bardeaux se trouve la sculpture d’un fenghuang doré, ou « phénix chinois
Sanctuaire de Fushimi Inari : 1 000 portes torii rouges
Fushimi Inari-taisha est un complexe composé de petits sanctuaires disséminés sur l’ensemble d’une montagne ainsi que de bâtiments principaux au pied de cette dernière. Ce sanctuaire englobe la montagne également nommée Inari, haute de 233 mètres au-dessus du niveau de la mer. Le sommet est atteignable en environ deux heures de marche via l’un des chemins qui s’étendent à peu près 4 km. Ce sanctuaire est surtout connu pour ses milliers de toriis vermillon formant un tunnel sur la colline sur laquelle le temple est construit1. Ces toriis sont pour la plupart des dons faits par des particuliers, des familles ou des entreprises à Inari. Le nom des donateurs figure souvent sur les montants du torii1. Le coût d’un torii valait en août 2016 entre 175 000 et 1 302 000 yens (entre 1 400 et 10 400 euros)
En 1909, le sanctuaire principal est déclaré trésor national (connu aujourd’hui sous le nom de « propriété culturelle majeure »). En 2011, on a célébré les mille trois cents ans du sanctuaire.
L’élément principal de ce grand sanctuaire est la colonnade de toriis appelée Senbon torii. Dix mille toriis sont disposés le long du chemin principal. Ils ont été donnés aux sanctuaires par des particuliers ou des entreprises, selon une coutume apparue lors de la période Edo (1603-1868) afin d’obtenir la réalisation de souhaits ou en remerciement pour des souhaits réalisés.
Temple Kiyomizu : scène en bois n’utilise pas un seul clou.
Le temple Kiyomizu ou Kiyomizu-dera (清水寺?) fait référence à un complexe de temples bouddhistes et shintoïstes mais est principalement utilisé pour un seul : l’Otowa-san Kiyomizu-dera (音羽山清水寺?) à l’est de Kyoto, qui est l’un des endroits les plus célèbres de la ville. Il a été enregistré au patrimoine mondial culturel de l’UNESCO en 1994. Le bâtiment principal du Kiyomizu-dera est célèbre pour sa plateforme, soutenue par des centaines de piliers, à flanc de colline et qui donne une vue de Kyoto.
L’accès au complexe se fait par la porte Niō (Niō-mon), puis par la porte ouest (Sai-mon) et la pagode à trois étages, ou directement devant le Zuigu-do, dédié au bodhisattva Daizuigu (en). Le bâtiment principal (hon-do), dédié à Kannon, se situe un peu plus loin.
En contrebas des différents bâtiments et notamment de l’Oku-no-in, se trouve la chute d’eau Otowa-no-taki3, d’où trois canaux plongent dans une mare. Les visiteurs du temple boivent de cette eau qui aurait des propriétés thérapeutiques dans des coupelles en fer. Il est dit que boire de l’eau des trois canaux confère santé, longévité et succès dans les études.
Pagode Yasaka (Hokan-ji) : symbole majeur de Kyoto
temple de l’école bouddhique zen Rinzai situé au Japon, dans l’arrondissement de Higashiyama-ku de la ville de Kyoto. Il dépend du temple Kennin-ji et comprend la pagode de Yasaka. La première pagode est érigée au VIe siècle pendant la période Asuka et a été reconstruite plusieurs fois. Détruit par un incendie en 1436, l’édifice actuel est reconstruit en 1440 par le sixième shogun, Ashikaga Yoshinori.
C’est une pagode à cinq étages au toit de tuiles, qui mesure 46 mètres de haut.
Quartier de Gion : ville historique de Kyoto.
Gion est l’un des quartiers historiques de Kyoto situé en son cœur, proche de l’avenue Shijo. Servant à l’origine d’escale aux visiteurs du sanctuaire Yasaka-jinja, ce district traditionnel s’avère aujourd’hui très apprécié des touristes car on peut y croiser des geiko et maiko à la nuit tombée. En journée, on apprécie l’architecture japonaise typique des anciennes maisons de ville qui s’alignent le long des rues du quartier.
Shirakawa se caractérise par sa somptueuse balade le long du canal éponyme, avec ses restaurants dont les salles donnent directement sur la rivière et que l’on rejoint en franchissant de charmants petits ponts. Bordé de cerisiers, le cours d’eau se montre encore plus agréable à découvrir au printemps au moment de la floraison des sakura 🌸 puis à l’automne 🍁 lorsque les feuilles virent à l’orange et au rouge.
Ginkakuji :
Le « temple du Pavillon d’argent » est un temple bouddhiste situé dans l’arrondissement Sakyō-ku à Kyōto au Japon, et datant de la fin du XVe siècle. Il a été construit en 1482 par le shogun Ashikaga Yoshimasa, qui voulait rivaliser avec Kinkaku-ji, le pavillon d’or, construit par son grand-père Ashikaga Yoshimitsu. Son intention était de couvrir le pavillon d’argent, mais à cause de l’intensification de la guerre Onin, qui avait éclaté quelques années plus tôt, en 1467, la construction a été arrêtée et le pavillon n’a jamais été couvert d’argent. Le bâtiment, qui devait être un monument ostentatoire, est maintenant pris en exemple pour montrer le raffinement dans la simplicité qui doit beaucoup à la doctrine du bouddhisme zen1. Beaucoup de Japonais pensent qu’il est plus beau que son homologue doré.
En plus du pavillon, le temple possède un terrain boisé couvert de mousses et un jardin japonais qu’on attribue à Soami. Le jardin de pierres et de sable de Ginkaku-ji est particulièrement célèbre et un tas de sable, qu’on dit laissé par les ouvriers quand les travaux ont été interrompus, en fait maintenant partie. Il symboliserait le mont Fuji. Le jardin sec du Ryōan-ji a été créé au cours de la première moitié du XVIe siècle.
Chemin de la philosophie :
Le chemin de la philosophie est un sentier situé au nord-est de Kyoto. Descendant le long d’un canal, il permet notamment de rejoindre à pied les temples Ginkaku-ji et Eikan-do. Cette balade, très touristique surtout au printemps avec la floraison des cerisiers, tire son nom du philosophe japonais zen Kitaro Nishida qui aimait y méditer. Le nom de la promenade remonte au début du XXe siècle. Le célèbre philosophe zen Kitarô Nishida (1870 – 1945) l’empruntait lors de sa méditation quotidienne pour rejoindre l’université de Kyoto, où il fonda l’école philosophique.
On a coutume de dire que son tracé de deux kilomètres fait rejoindre le Ginkaku-ji (pavillon d’argent) au temple Eikan-do Zenrin-ji, mais d’autres points d’intérêt y sont accessibles tels que Nanzen-ji, Honen-in ou encore le mont Daimon-ji. Beaucoup de visiteurs en profitent pour déambuler tranquillement entre ceux-ci, alternant avec les petites boutiques et les cafés qui jalonnent la balade. Pour éviter la foule, nous vous conseillons de venir visiter le chemin de la philosophie très tôt le matin. Vous profiterez également d’une ambiance encore plus zen.
Nanzenji :
Temple du bouddhisme zen situé à Kyōto au Japon. Il a été fondé en 1291 par l’empereur japonais Kameyama. Le Nanzen-ji est l’un des cinq grands temples zen de Kyōto. C’est aussi le quartier général de la branche Nanzen-ji, une des quatorze branches que compte l’école Rinzai.
Le temple Nanzen-ji (Temple de la montagne du sud) est considéré comme un des temples les plus importants du monde pour les bouddhistes Zen. Il est la maison mère de la branche Rinzai du Zen.
Il se trouve à Kyoto au bout du Chemin de la philosophie. On peut y aller à pied depuis le pavillon d’argent. Le temple de Nanzen-ji se compose d’un bâtiment principal et de 12 annexes
Le temple de Nanzen-ji est à l’origine une villa impériale bâtie en 1264 pour l’empereur Kameyama. En 1290, l’empereur Kamenaya invita le prêtre Fumon afin qu’il débarrasse le palais d’un fantôme. D’autres prêtres s’y étaient attaqués sans succès. Au lieu de parcourir le palais en chantant des incantations, Fumon s’assit et médita. Le fantôme disparut. L’empereur fut très impressionné par le pouvoir du Zen et de la méditation et il donna à Fumon une partie de son palais. Celui-ci y installa un temple et commença à enseigner le bouddhisme Zen. L’empereur devint alors un de ses étudiants et se convertit. Petit à petit tout le palais fut transformé en temple et agrandi. Il devint un temple à la mort de l’empereur en 1291. C’est le cas du pavillon d’argent (estampe ci-contre) d’abord lieu de repos aristocratique puis temple.
La plupart des bâtiment furent détruits pendant la guerre civile Onin au 15ème siècle et furent rebattis au 17ème. Les différents shogun des familles Hideyoshi et Tokugawa gratifièrent continuellement le temple de dons en terres et de nouvelles constructions. En 1868, début de l’ère Meiji, le temple possédait 62 bâtiments. Durant l’ère Meiji (1868-1912), le bouddhisme déclina pour être remplacé par le culte Shinto qui convenait mieux au nouveau pouvoir.
Tenryuji :
temple bouddhiste zen relevant de l’école Rinzai. Fondé en 1345 par le shogun Takauji Ashikaga (足利 尊氏, 1305-1358) et le moine Musō Soseki (夢窓疎石, 1275-1351), c’est le temple principal de la branche Rinzai Tenryū-ji et le premier des gozan (五山?, cinq grands temples) de Kyōto).
Chateau Nijojo :
Le château se compose de deux anneaux concentriques (Kuruwa) de fortifications, le palais Ninomaru, les ruines du palais Honmaru, divers bâtiments de soutien et plusieurs jardins. La superficie du château est de 275 000 mètres carrés (27,5 ha), dont 8 000 mètres carrés (86 000 pieds carrés) sont occupés par des bâtiments.
C’est l’un des dix-sept monuments historiques de l’ancienne Kyoto qui ont été désignés par l’UNESCO comme site du patrimoine mondial.
SITUATION
Ville japonaise de la région du Kansai, au centre de Honshū. Elle fut de 794 à 1868 la capitale impériale du Japon. Elle est aujourd’hui, avec ses palais impériaux, ses milliers de sanctuaires shinto et de temples bouddhistes, le cœur culturel et religieux du pays. La ville est aussi la capitale de la préfecture de Kyoto ainsi que l’une des grandes villes de la zone métropolitaine Keihanshin (Osaka-Kobe-Kyoto). Sa population est de 1,46 millions d’habitants (estimations 2024).
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Juillet 2024 :
Kyoto Incontournables :
Kyoto Chemin Philosphie et parcs :
Kyoto Restaurant :
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La vallée (moins de 1.000 m)
La vie y est facile, la température moyenne est de 15°. La période de végétation est
de 8 à 9 mois. C’est l’étage des CULTURES, des CHAMPS DE FLEURS, des FEUILLUS
comme le chêne, le châtaigner etc.
La forêt (de 1.000 à 2.000 m)
La température moyenne est plus basse : de 5 à 15°. La période de végétation dure
de 6 à 7 mois. C’est l’étage de la forêt où poussent des FORETS DE HETRES et en
montant en altitude, beaucoup de RESINEUX (sapins, pins).
Les alpages (de 2.000 à 3.000 m)
La température moyenne varie de 2 à 5°. Il n’y a pas beaucoup d’arbres car il fait
trop froid, il y a DES GRANDES ETENDUES D’HERBE (les alpages) et la végétation est rare.
La haute montagne (au-delà de 3.000 m)
La température moyenne se situe autour de 0°. Il y a des ROCHES, des NEIGES
ETERNELLES, des GLACIERS et très peu de végétation. Il fait encore plus froid et humide
sur le versant nord qui se trouve longtemps à l’ombre.
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