POINT D'INTERET

Le jardin Hama-rikyū (浜離宮恩賜庭園, Hama-rikyū onshi teien?, « jardin du palais isolé de la plage, don impérial ») est un jardin japonais de Tokyo, au Japon. Ce jardin de promenade (kaiyū-shiki) se trouve à proximité du quartier de Shiodome, dans l’arrondissement de Chūō, à l’embouchure de la Sumida dans la baie de Tokyo. Sa superficie est de 25 hectares, et il est bordé sur trois côtés par une douve remplie d’eau de mer.

Le jardin existe depuis le XVIIe siècle ; à ses débuts, il faisait partie d’une villa de la famille Tokugawa1. Il est ouvert au public depuis 1946. C’est un des 29 « sites à la beauté exceptionnelle du paysage » du Japon, selon la classification du ministère de la Culture.

Le jardin se divise en deux parties : la plus ancienne (époque d’Edo) au sud, centrée sur l’ancien jardin du daimyo[Lequel ?], et où se trouve une lagune qui se remplit à marée haute, et un jardin plus récent au nord, aménagé durant l’ère Meiji

 

Shiori-no-ike (潮入の池?, « lagune de la marée montante ») : le plus grand des plans d’eau du parc, c’est une lagune artificielle dont le niveau varie en fonction de la marée, par l’intermédiaire d’une porte d’écluse. De nombreux poissons d’eau de mer y vivent, comme des mulets ou des anguilles. Nakajima (中島?, « île centrale ») est une île construite au milieu de la lagune, reliée à la rive par trois ponts, dont O-tsutai-bashi, un pont en hinoki faux-cyprès de 118 m.
Nakajima-no-ochaya (中島の御茶屋?, « maison de thé de l’île centrale ») est une maison de thé installée sur cette île, toujours en activité. Construite en 1707, elle offrait une vue sur la mer ; c’était un lieu de détente de la noblesse d’Edo. Elle a été détruite en 1724 et 1944, et restaurée dans sa forme d’origine en 1983.
Matsu-no-ochaya (« maison de thé des pins ») était une autre maison de thé sur la rive nord de la lagune. Elle tirait son nom des pins qui l’entouraient, ou qui étaient dessinés sur le shōji (panneau coulissant) d’entrée. Elle a été détruite lors des bombardements de novembre 1944 et reconstruite en 2010.
Tsubame-no-ochaya (« maison de thé d’hirondelle ») également détruite durant la guerre, elle a été reconstruite en 2015.
Sanhyakunen-no-matsu (3百年の松?, « pin tricentenaire ») : ce pin a été planté en 1709, sous le shogunat de Tokugawa Ienobu, par Ienobu lui-même selon certaines sources. C’est le plus grand pin noir de Tokyo. Il commémorait les améliorations apportées par Ienobu au jardin.
Kamoba : deux sites sont aménagés pour la chasse au canard, Koshin-do kamoba (1778) et Shizen-za kamoba (1791 ou 1795). Chacune de ces mares est aménagée avec une île centrale, conçue pour la nidification, et plusieurs bras d’eau ; les rives sont couvertes d’une végétation dense qui protège les canards des prédateurs. Des cabanes camouflées (hikibori) servent à leur observation, et les canards étaient capturés avec des filets.
Kamozuka : ce monument funéraire a été construit en 1935 pour réconforter l’esprit des canards tués.
Umite chaya : cette maison de thé construite en 1707 près de la côte offrait une vue de la mer, des bateaux et des pêcheurs. Elle a été détruite lors du tremblement de terre de 1923.
Shogun O-agariba : cet embarcadère était utilisé par le shogun. Le dernier shogun, Tokugawa Yoshinobu, y débarque en 1868 après sa défaite lors de la bataille de Fushimi-Toba. L’ouvrage a été endommagé par un typhon en 1949.
Champ de pivoines et parterre de fleurs (jardin Peony) : cultivé sur le site de la villa des Tokugawa, ces champs de fleurs contiennent 800 espèces, dont 60 de pivoines. Le jardin offre ici un net contraste avec les tours de Shiodome.
Kyu Inabu-jinja (ancien sanctuaire d’Inabu), construit en 1895 sur le site d’un sanctuaire de l’époque d’Edo détruit par un tremblement de terre en 1894, il a été rénové en 2005.
Shin Hinokuchi-yama : butte face à la baie de Tokyo et d’où on peut apercevoir le pont Rainbow

SITUATION

Ce jardin de promenade (kaiyÅ«-shiki) se trouve à  proximité du quartier de Shiodome, à  l’embouchure de la Sumida dans la baie de Tokyo. Sa superficie est de 25 hectares, et il est bordé sur trois cotés par une douve remplie d’eau de mer. Le jardin existe depuis le xviie siècle ; à  ses débuts, il faisait partie d’une villa de la famille Tokugawa. Il est ouvert au public depuis 1946.

C’est un des 29 « sites à  la beauté exceptionnelle du paysage » du Japon, selon la classification du ministère de la culture (MEXT).Le jardin se divise en deux parties la plus ancienne (époque d’Edo) au sud, centrée sur l’ancien jardin du daimyo, et ou se trouve une lagune qui se remplit à  marée haute, et un jardin plus récent au nord, aménagé durant l’ère Meiji.

CARTOGRAPHIE

TEXTE DE LA SORTIE

ACCES AU DEPART

Description

Phototheque de la sortie / du voyage :

 

Tokyo Ginza 2016 :


 

Tokyo visite ville 2016 :


 

Tokyo visite HAMA Riuku 2016 :

 

 

 

Informations complémentaires

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La vallée (moins de 1.000 m)
La vie y est facile, la température moyenne est de 15°. La période de végétation est
de 8 à 9 mois. C’est l’étage des CULTURES, des CHAMPS DE FLEURS, des FEUILLUS
comme le chêne, le châtaigner etc.
La forêt (de 1.000 à 2.000 m)
La température moyenne est plus basse : de 5 à 15°. La période de végétation dure
de 6 à 7 mois. C’est l’étage de la forêt où poussent des FORETS DE HETRES et en
montant en altitude, beaucoup de RESINEUX (sapins, pins).
Les alpages (de 2.000 à 3.000 m)
La température moyenne varie de 2 à 5°. Il n’y a pas beaucoup d’arbres car il fait
trop froid, il y a DES GRANDES ETENDUES D’HERBE (les alpages) et la végétation est rare.
La haute montagne (au-delà de 3.000 m)
La température moyenne se situe autour de 0°. Il y a des ROCHES, des NEIGES
ETERNELLES, des GLACIERS et très peu de végétation. Il fait encore plus froid et humide
sur le versant nord qui se trouve longtemps à l’ombre.