POINT D'INTERET

SITUATION

Au printemps,  multitude de jonquilles et de gentianes bleues.

METEO

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CARTOGRAPHIE

TEXTE DE LA SORTIE

Plusieurs possibilités ;- Venant de Luchon, on monte jusqu’au col de Portillon, et on descend de quelques lacets. Dans un lact, on tourne piste forestière à  droite pdt environ 5 à  6 km. On rejoindra le col de Barèges de la … la suite reste la même …- De l’hospice de France. Il faut tout de suite quitter par la gauche le large sentier principal, car notre chemin prend juste avant l’édifice pour monter au Nord, à  l’opposé de la vallée du port de Vénasque.Il traverse la prairie et rejoint la forêt, parfois clairsemée, ou quelques raidillons mettent notre souffle à  l’épreuve. Le sentier quitte les arbres après une bonne demi-heure et la pente s’adoucit pour rejoindre la cabane de Campsaure – 0h50 arrêts compris.Le ruisseau de l’Artigue forme un petit ravin que l’on traverse vers le Nord pour suivre le sentier, délaissant la piste à  gauche. On continue sans le moindre problème jusqu’au col de Barèges, dont on atteint la cabane après 1h30 de marche au total, arrêts compris.Après une légère collation, nous quittons le col de Barèges pour attaquer sur notre droite (Est), à  pleine pente, le pic d’Aubas. Pas de sentier ici, mais la direction est évidente et la pente herbeuse, facile. Zigzagant pour économiser notre peine, nous parvenons au sommet (2071 m) en 0h35 depuis le col.A partir de là , nous suivons la crête, marquée par les bornes frontière, perdant ou regagnant de l’altitude au gré des petits sommets qui la domine et d’une sente capricieuse et intermitente.Nous passons ainsi au pic d’Arrès (2161 m), ou nous déjeunerons, 0h25 après avoir quitté le pic d’Aubas.Un quart d’heure nous mène ensuite au pic de Campsaure (2141 m), ou commence la descente, à  flanc, vers l’étang de Roumingau (1910 m environ), que l’on atteint 0h40 après avoir quitté le pic d’Arrès.

ACCES AU DEPART

Description

Informations complémentaires

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Pour survivre à l’hiver, certains animaux quittent la montagne pour des cieux plus cléments (migration), d’autres s’endorment bien à l’abri (hibernation), mais un bon nombre d’espèces reste présente et doit s’adapter pour faire face au froid. Les animaux continuent donc de se déplacer pour se nourrir et s’abriter. Pour la plupart, ils se cantonnent à un petit territoire qu’ils arpentent discrètement, attentifs aux risques d’une mauvaise rencontre. Dans la neige fraîche, leurs traces de pas sont facilement visibles. On peut voir quelques empreintes qu’il est difficile de suivre mais parfois de véritables pistes laissent deviner par où l’animal s’en est allé. Cette écriture est plus ou moins facile à déchiffrer. Selon la densité et la température de la neige, l’empreinte sera plus ou moins nette.

La vallée (moins de 1.000 m)
La vie y est facile, la température moyenne est de 15°. La période de végétation est
de 8 à 9 mois. C’est l’étage des CULTURES, des CHAMPS DE FLEURS, des FEUILLUS
comme le chêne, le châtaigner etc.
La forêt (de 1.000 à 2.000 m)
La température moyenne est plus basse : de 5 à 15°. La période de végétation dure
de 6 à 7 mois. C’est l’étage de la forêt où poussent des FORETS DE HETRES et en
montant en altitude, beaucoup de RESINEUX (sapins, pins).
Les alpages (de 2.000 à 3.000 m)
La température moyenne varie de 2 à 5°. Il n’y a pas beaucoup d’arbres car il fait
trop froid, il y a DES GRANDES ETENDUES D’HERBE (les alpages) et la végétation est rare.
La haute montagne (au-delà de 3.000 m)
La température moyenne se situe autour de 0°. Il y a des ROCHES, des NEIGES
ETERNELLES, des GLACIERS et très peu de végétation. Il fait encore plus froid et humide
sur le versant nord qui se trouve longtemps à l’ombre.