POINT D'INTERET

SITUATION

CARTOGRAPHIE

TEXTE DE LA SORTIE

ACCES AU DEPART

Ladite route se termine par un parking, et se poursuit par un large tracé toujours fortement ascendant. Après 15 minutes, on atteint Capluc. Dans le hameau (à  moitié ruiné), suivre les balisages GR + vert + jaune. On arrive à  un carrefour avec un panneau indiquant Rocher de Capluc à  gauche.En option, on peut faire l’aller-retour (20mn) par des escaliers très raides et glissants (main courante) et des échelles .Point de vue extraordinaire depuis le sommet.Revenu au panneau, on poursuit, on laisse à  gauche le sentier de l’Ermitage (autre panneau jaune), puis on continue horizontalement quelques minutes jusqu’à  un autre panneau indiquant le départ du sentier J.Brunet (raccourci possible en continuant tout droit sur le GR). S’engager à  gauche sur ce sentier. Au début, il monte normalement, puis on atteint les zones rocheuses et le parcours devient extrêmement ludique avec quelques passages ou il faut mettre les mains et faire attention. Très esthétique, le parcours suit logiquement la crête qui sépare les vallées du Tarn et de la Jonte, avec un discret balisage orange fluo (ou point rouge).A noter qu’à  la fin de la partie rocheuse, à  la sortie d’une cheminée, on tombe sur un dédale de sentes. Prendre alors le plus à  gauche possible afin de passer dans le versant Nord (balises rouges). On est alors dans une jolie forêt avec de belles vues sur le Tarn. Puis, en quelques minutes, on arrive à  un carrefour (1 h).Aller à  droite sur quelques mètres pour rejoindre un large col marqué par une plaque du CAF. On repasse alors versant Sud.Descendre et, en quelques virages, atteindre un carrefour ou on retrouve le parcours normal du GR.Prendre à  gauche direction Cassagnes, La Viale. Le balisage est alors GR + GRP (jaune rouge). On s’élève dans le versant sud, avec déjà  de jolies vues et une belle ambiance de chaos dolomitique . Puis on atteint un carrefour ou on laisse un sentier à  droite. On suit alors la direction Cassagnes 3,5Km.A partir de là , le parcours devient splendide  :vues plongeantes, rochers aux formes extraordinaires (notamment le Vase de Sèvres et le Vase de Chine), belle végétation. Attention, il faut bien suivre le balisage et regarder ou on met les pieds. S’arrêter aussi pour lever le nez afin d’admirer les vautours en vol (rare de ne pas en voir).Plus loin, le sentier redevient facile , et les vues s’ouvrent davantage vers l’Est. Puis on quitte la corniche pour atteindre le Causse. On arrive alors à  un carrefour avec des panneaux jaunes ou on continue tout droit sur le tracé le plus large (2 h 05).On profite de ce secteur sur le plateau et à  l’ombre des pins pour se reposer. On suit toujours le balisage PR jusqu’à  atteindre un carrefour avec des panneaux jaunes, et on va à  gauche direction Le Rozier par corniches du Tarn 4,3 Km.Quelques centaines de mètres et le sentier se rétrécit en même temps qu’il quitte le Causse. On tombe sur un carrefour ou on va à  droite direction le Cinglegros, la Bourgarie.Le parcours est ensuite un bel itinéraire en balcon qui nous permet d’atteindre le Cinglegros (3 h 10) . En route, on aura ignoré un sentier sur la droite juste après une zone humide (marquée comme source sur la carte IGN).Au carrefour du Cinglegros (marqué d’un poteau qu’on prendra au retour), en remontant la sente que l’on voit à  gauche qui se faufile dans une brèche.On prend pour le moment le sentier qui part vers le Nord, direction la Bourgarie. A nouveau, le parcours en corniche est fort joli. En route, on ignore un sentier à  droite en direction de Volségure (sur la droite).En continuant, le paysage reste magnifique, en particulier lorsqu’on longe une arche (le Bous del Biel) dans laquelle se découpe le Tarn cinq cent mètres plus bas.Puis on rejoint un carrefour (4 h 15), on va à  gauche direction Pas de l’Arc. Une descente très raide mène à  une nouvelle arche, superbe, sous laquelle passe le sentier . Puis on continue à  descendre avant de se stabiliser horizontalement.On visite alors les superbes falaises dolomitiques par le bas . Le sentier est cependant plus difficile, étroit et glissant.En route, on prend deux fois à  gauche aux deux carrefours (suivre les balises rouges). Finalement, on atteint une bifurcation (5 h 20) ou on remonte tout d’abord une pente plutot raide puis a un petit carrefour, Cinglegros est marqué sur la gauche, que l’on suit par des escaliers (plus facile que les échelles en final) qui mènent au sommet du rocher (panneau accès interdit). En escaladant les différents promontoires, on varie les vues à  l’infini. Pour la suite revenu au petit collet, prendre a droite (en revenant) le panneau pas de l’Arc / Bourgarie et remonter deux échelles suspendues dans le vide nous donnent un petit gout de via ferrata. On attaque quelques marches en ferraille scellées dans le rocher et enfin une montée raide et glissante ou on doit s’aider des mains pour revenir alors au col qu’on suit sur la droite à  présent.

Description

Maintenant, le sentier offre le sommet qui apparait. Pénétrer dans une combe et progresser dans un sous-bois de feuillus très surprenant dans cette partie austère. Une fois sortis, le col n’est plus très loin et avec lui l’ascension pour gagner la tour désaffectée.

Informations complémentaires

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Pour survivre à l’hiver, certains animaux quittent la montagne pour des cieux plus cléments (migration), d’autres s’endorment bien à l’abri (hibernation), mais un bon nombre d’espèces reste présente et doit s’adapter pour faire face au froid. Les animaux continuent donc de se déplacer pour se nourrir et s’abriter. Pour la plupart, ils se cantonnent à un petit territoire qu’ils arpentent discrètement, attentifs aux risques d’une mauvaise rencontre. Dans la neige fraîche, leurs traces de pas sont facilement visibles. On peut voir quelques empreintes qu’il est difficile de suivre mais parfois de véritables pistes laissent deviner par où l’animal s’en est allé. Cette écriture est plus ou moins facile à déchiffrer. Selon la densité et la température de la neige, l’empreinte sera plus ou moins nette.

La vallée (moins de 1.000 m)
La vie y est facile, la température moyenne est de 15°. La période de végétation est
de 8 à 9 mois. C’est l’étage des CULTURES, des CHAMPS DE FLEURS, des FEUILLUS
comme le chêne, le châtaigner etc.
La forêt (de 1.000 à 2.000 m)
La température moyenne est plus basse : de 5 à 15°. La période de végétation dure
de 6 à 7 mois. C’est l’étage de la forêt où poussent des FORETS DE HETRES et en
montant en altitude, beaucoup de RESINEUX (sapins, pins).
Les alpages (de 2.000 à 3.000 m)
La température moyenne varie de 2 à 5°. Il n’y a pas beaucoup d’arbres car il fait
trop froid, il y a DES GRANDES ETENDUES D’HERBE (les alpages) et la végétation est rare.
La haute montagne (au-delà de 3.000 m)
La température moyenne se situe autour de 0°. Il y a des ROCHES, des NEIGES
ETERNELLES, des GLACIERS et très peu de végétation. Il fait encore plus froid et humide
sur le versant nord qui se trouve longtemps à l’ombre.