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POINT D'INTERET
Fortes pentes pour accéder au port de Campbieil, ainsi qu’au sommet du Soum des Salettes.
Un névé parfois imposant barre l’accès au port de Campbieil, souvent jusqu’au milieu de l’été. En 2021, le chemin passe dessus.
L’essentiel de l’itinéraire se fait sur de bonnes sentes « roulantes ».
Depuis le Port de Campbieil, on accède au sommet par une petite sente sans réelle difficulté, mais où l’aide des mains peut être utile à de rares endroits.
SITUATION
Vallée d’Aure, de la Barrousse. Au coeur du Parc national des Pyrénées.
Par la station de Piau Engaly, le cheminement fait progresser sans difficulté (bien que ça monte sévèrement) jusqu’au Port de Campbieil. De là, il faut encore gravir 400 m par la crête nord du Soum des Salettes pour rejoindre son sommet.
Au sommet, on découvre versant Sud un superbe panorama sur les sommets de 3000 de Gavarnie et de Troumouse.
CARTOGRAPHIE
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0h00 Piau Engaly (1840m)
A l’extrémité du parking P1, emprunter la piste large en descente jusqu’au départ du télésiège de Mouscadès (direction ouest).
Peu après, on remonte (qques centaines de mètres) pour un peu plus loin la quitter pour suivre une piste large encore à droite qui rejoint le torrent. Traverser sur une passerelle
On peut voir le Soum de Salettes au loin, droit devant nous. Le port de Campbieil situé à droite est en partie masqué.
On va suivre le sentier qui s’élève dans les prairies quelques courtes minutes puis le bon sentier à droite. Le sentier principal s’élève progressivement sur le flanc droite du fond de vallée, et se poursuit en traversée montante au-dessus des barres rocheuses.
Après avoir franchi une passerelle, on rejoint une bifurcation signalée par un panneau.
1h05 Bifurcation du lac Badet (2138m)
Laisser le sentier qui part en face vers le lac de Badet et la hourquette de Chermentas. Suivre le sentier de droite qui s’élève à flanc, rive droite d’un défilé (donc côté gauche en montant). Rapidement, le vallon s’évase et on rencontre une nouvelle bifurcation, également signalée par un panneau.
1h15 Bifurcation de la Hourquette d’Héas (2226m)
Laisser à gauche le sentier de la Hourquette d’Héas, et emprunter à droite le sentier du Port de Campbieil.
Le sentier s’élève longuement en lacet à travers les pentes d’éboulis jusqu’au port de Campbieil. La montée se fait d’abord côté gauche, puis côté droite du vallon, toujours sur un bon sentier mais raide vers la fin avant le col.
2h15 Port de Campbieil (2596m)
Parvenu au col, attention an vent d’ouest qui parfois peut être très violent.
S’élever à gauche, en suivant une bonne sente qui nous élève jusqu’au sommet du Soum des Salettes, d’abord en restant sur le fil de la crête, puis en progressant sur le côté droite (versant Ouest)
3h00 Soum des Salettes (2976m)
Meme chemin à l’inverse,
0h00 Soum des Salettes (2976m)
Descendre prudemment par l’itinéraire de l’aller jusqu’au col.
0h40 Port de Campbieil (2596m)
Descendre à droite sur l’itinéraire de l’aller. Au bas du défilé et juste avant de franchir la passerelle, on retrouve une bifurcation signalée par un panneau.
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Si le courage vous en dit, il est possible de redescendre au col, et continuer sur le fond de la vallée direction hourquette de Chermentas, puis étang de Badet pour rejoindre la station de ski.
ACCES AU DEPART
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Description
Phototheque 2021 :
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Phototheque 2020 :
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Phototheque 2014 :
Informations complémentaires
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Pour survivre à l’hiver, certains animaux quittent la montagne pour des cieux plus cléments (migration), d’autres s’endorment bien à l’abri (hibernation), mais un bon nombre d’espèces reste présente et doit s’adapter pour faire face au froid. Les animaux continuent donc de se déplacer pour se nourrir et s’abriter. Pour la plupart, ils se cantonnent à un petit territoire qu’ils arpentent discrètement, attentifs aux risques d’une mauvaise rencontre. Dans la neige fraîche, leurs traces de pas sont facilement visibles. On peut voir quelques empreintes qu’il est difficile de suivre mais parfois de véritables pistes laissent deviner par où l’animal s’en est allé. Cette écriture est plus ou moins facile à déchiffrer. Selon la densité et la température de la neige, l’empreinte sera plus ou moins nette.
La vallée (moins de 1.000 m)
La vie y est facile, la température moyenne est de 15°. La période de végétation est
de 8 à 9 mois. C’est l’étage des CULTURES, des CHAMPS DE FLEURS, des FEUILLUS
comme le chêne, le châtaigner etc.
La forêt (de 1.000 à 2.000 m)
La température moyenne est plus basse : de 5 à 15°. La période de végétation dure
de 6 à 7 mois. C’est l’étage de la forêt où poussent des FORETS DE HETRES et en
montant en altitude, beaucoup de RESINEUX (sapins, pins).
Les alpages (de 2.000 à 3.000 m)
La température moyenne varie de 2 à 5°. Il n’y a pas beaucoup d’arbres car il fait
trop froid, il y a DES GRANDES ETENDUES D’HERBE (les alpages) et la végétation est rare.
La haute montagne (au-delà de 3.000 m)
La température moyenne se situe autour de 0°. Il y a des ROCHES, des NEIGES
ETERNELLES, des GLACIERS et très peu de végétation. Il fait encore plus froid et humide
sur le versant nord qui se trouve longtemps à l’ombre.
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